SecondeChance.org fête son 700ème refuge !
Une victoire pour Wanimo et ses salariés à l'origine de ce projet unique en France
et la preuve que l'on peut associer développement économique et engagement social
Pari réussi ! Avec 700 refuges et associations, 13 500 animaux présentés, 150 000 visiteurs mensuels et 200 000* adoptions à son actif, le site SecondeChance.org est le portail de l'adoption des animaux domestiques en France et le plus grand refuge virtuel. Pour les salariés de l'animalerie en ligne Wanimo.com , c'est l'aboutissement de 4 ans de travail et le résultat d'un projet d'entreprise qui mobilise les talents de tous.
Wanimo est la preuve que l'on peut associer croissance économique et engagement social. L'animalerie en ligne est aujourd'hui au 48ème rang des sites Internet français** et son PDG, Isabelle Vidal, vient également de recevoir 2 prix (1) qui viennent récompenser son entreprise «parentale» où les femmes allient vie de famille, vie professionnelle et engagement caritatif sans obérer la croissance.
* chiffre estimé d'après les statistiques fournies par les refuges.
** palmarès : les 80 premiers sites marchands français - l'Express 2011
Un projet fédérateur
Le projet Seconde Chance nait en 2007 du constat que l'adoption des animaux n'est pas un réflexe en France et que les associations de protection animale n'ont pas su profiter du boom d'Internet pour développer leur visibilité. Les salariés de Wanimo décident alors d'offrir aux associations une plate-forme commune qui leur permettra de présenter leurs candidats à l'adoption au plus grand nombre. Pour cela ils vont mettre la notoriété de l'entreprise et leur expertise au service de la protection animale : Wanimo se chargera de fournir et de financer un site efficace et facile à utiliser mais surtout Wanimo s'engage à promouvoir Seconde Chance auprès du grand public et des médias.
Pour les salariés de Wanimo il s'agit également de dépasser l'aspect commercial de leur travail pour donner un sens et une finalité à leur passion et leur engagement auprès des animaux. Un projet fédérateur qui a séduit la direction qui a immédiatement accepté de financer le projet.
Un projet qui trouve rapidement son public
Très rapidement Seconde Chance fait la preuve de son efficacité tant auprès du grand public que des refuges adhérents. Ces derniers constatent que le nombre de demandes d'information concernant leurs pensionnaires est en forte augmentation. Les petites associations voient leur champ d'attraction s'étendre aux départements voisins et même à la France entière.
Aujourd'hui Seconde Chance fédère 700 associations et est à la source de plus de 70% des contacts avec de futurs adoptants.
C'est en permanence plus de 13 000 animaux proposés à l'adoption aux 150 000 visiteurs mensuels du site.
Une aide supplémentaire avec l'opération « on les aime, on les aide »
Dès ses débuts en 2007, Wanimo a souhaité aider matériellement les associations qui participaient au projet Seconde Chance : dons exceptionnels pour aider des refuges sinistrés, achats à prix préférentiels, campagnes de récoltes de fonds ou de dons d'aliments auprès de ses clients, organisation d'opérations spéciales, etc.
Afin de poursuivre son action auprès des associations de protection animale, Wanimo lance maintenant l'opération : « On les aime, on les aide ». Chaque mois, Seconde Chance présente l'appel d'un refuge qui lance un SOS à Wanimo. En votant pour le projet sur la page Facebook de Wanimo , les internautes permettront à l'association de recevoir le matériel nécessaire à la réalisation de son projet.
Le premier projet retenu est celui de l'association APATE dans les Bouches-du-Rhône , durement touchée par les intempéries.
(1) Et si on pouvait faire des affaires avec de bons sentiments ?
Loin des stéréotypes de la startup entièrement tournée vers son profit, Wanimo a su imposer sa vision différente de l'entreprise ce qui fait aujourd'hui sa particularité et sa réussite. Le 8 octobre 2011, sa présidente, Isabelle Vidal remportait deux des neufs Trophées des Femmes de l'Economie Rhône-Alpes :
* Prix de la femme chef d'entreprise 2011
Isabelle Vidal s'est vu récompensée pour la réussite commerciale, marketing et managériale de Wanimo.com. Le site, développé par une équipe à 85 % féminine, s'est imposé sur un marché très compétitif en multipliant son chiffre d'affaires par 10 en 5 ans grâce à son mix unique alliant e-commerce, service de conseils vétérinaires personnalisés en ligne et contenu éditorial.
* Prix du magazine ELLE 2011
Isabelle Vidal voit récompensée son entreprise «parentale» où les femmes allient vie de famille et vie professionnelle sans obérer la croissance : « Les femmes sont globalement mieux adaptées à la complexité du développement d'une petite entreprise grâce à leur capacité à être multitâches, leur l'intuition et un sens de l'intérêt général très affirmé». Elle a donc aménagé les horaires et développé le télétravail. Ainsi, la directrice des opérations a bénéficié d'horaires aménagés pour ses trois enfants et la directrice du marketing est délocalisée pour raisons familiales à Marseille où elle gère à distance son équipe de 7 personnes.
A propos de Wanimo
Créé en 2000, Wanimo.com est aujourd'hui le leader des boutiques en ligne pour animaux, offrant une gamme très large de produits (alimentation, hygiène, santé, habitat, accessoires…).
Wanimo propose aussi à ses clients un service unique de conseils vétérinaires gratuits et personnalisés appelé conseils@veto. Via ce service, les vétérinaires de Wanimo.com répondent chaque jour, de manière individualisée, aux questions des internautes soucieux du bien-être de leur animal. Du fait de leur dialogue quotidien avec les propriétaires d'animaux, les vétérinaires de Wanimo.com connaissent très bien les préoccupations et les habitudes des maîtres et ils éditent des Fiches Santé et Conseil sur les thématiques les plus attendues.
Wanimo, c'est aujourd'hui :
· 550 000 propriétaires d'animaux référencés
· 10 millions de visiteurs uniques
· 55 millions de pages vues
· 35 000 requêtes aux vétérinaires de Wanimo
· 5 500 produits référencés.
Contact presse :
Coryne Nicq