Bienvenue sur le nouveau site de www.plateformemedia.com
Les communiqués de presse en direct
Communiqué de presse : santé

TROUBLES DE L'ERECTION ET MALADIES SOUS-JACENTES

Laboratoire Lilly

Communiqué le 29/06/2007
Parfois signe d’appel de maladies sous-jacentes, pourquoi faut-il briser le tabou des troubles de l’érection ?

Quel que soit leur âge, les hommes peuvent être profondément déstabilisés lorsque surviennent des troubles de l’érection. Malheureusement, ils en font encore trop souvent une « affaire personnelle » qu’ils nient ou banalisent et se refusent à en parler à un médecin ce qui équivaudrait, selon eux, à formaliser la manifestation intime d’un problème lié à leur virilité.
Résultat : d’après le Dr Olivier Cambau – Endrocrinologue, Andrologue, Sexologue à Lyon - « Enfermés sur eux-mêmes, leur état prend davantage d’ampleur, tandis que se développent des réactions comportementales qui aggravent le problème, créant un véritable cercle vicieux. »1

Les différentes études menées sur les conséquences psychologiques d’une dysfonction érectile révèlent que 28 % des hommes concernés pensent à leur trouble au cours de la journée2, que plus de 8 hommes sur 10 admettent que leur trouble de l’érection affecte non seulement leur sentiment de virilité (84 %) mais les empêche également de profiter de la vie (81 %)3 et enfin, que la moitié des patients souffrirait de dépression4.





Cette maladie peut en cacher une autre mais 1/3 des hommes atteints de trouble de l’érection l’ignorent5 :

Si elle est susceptible de perturber le mental masculin, la dysfonction érectile est aussi, très fréquemment, le signe d’appel de problèmes de santé que le patient ignore et ignorera aussi longtemps qu’il ne consultera pas son médecin, à moins que des signes cliniques se manifestent entre temps avec les risques majeurs qu’ils comportent, puisqu’il s’agit de pathologies lourdes nécessitant une prise en charge thérapeutique rapide.

Ainsi, une dysfonction érectile peut être l’un des premiers signes cliniques d’une maladie cardiovasculaire6, d’un diabète ou d’une dépression7. A titre d’exemple, le risque d’avoir une hypertension artérielle serait 38 % plus élevé chez les hommes souffrant de dysfonction érectile8.




Les troubles de l’érection des hommes français

Les études épidémiologiques sur le sujet montrent que les troubles de l’érection sont très répandus et les chiffres sont impressionnants puisque l’on évalue à 152 millions le nombre d’hommes touchés dans le monde et 31 millions en Europe9.

ÿ En France, la prévalence des troubles de l’érection chez les hommes de plus de 40 ans est élevée et atteint 31,6 %10 en moyenne (soit 1 homme sur 3), avec une augmentation liée à l’avancée en âge et des degrés d’intensité variables puisque 63,4 % présentaient une insuffisance érectile modérée, 23,7 % une intensité moyenne et 12,9 % une intensité sévère.

ÿ Mais ils ne sont que 25 % à consulter un médecin5 !


Des solutions existent pour retrouver une harmonie sexuelle

L’amélioration de la qualité de vie de l’homme atteint de troubles de l’érection passe par une prise en charge adaptée, efficace mais impliquant le moins de contraintes possibles, afin de préserver la spontanéité et la liberté dans l’accomplissement de l’acte sexuel.

En France et dans le monde entier, il existe maintenant des solutions pour traiter les troubles de l’érection. Ces traitements sont fiables, efficaces et permettent une sexualité harmonieuse et épanouie. Ils ne sont délivrés que sur prescription médicale après un examen de santé et ne peuvent être obtenus qu’en pharmacie. La prescription d’un traitement de la dysfonction érectile doit faire l’objet d’un suivi médical régulier. Ne jamais se procurer ce type de médicament sur Internet, où le risque d’obtenir une contrefaçon est très important.

Des troubles à la prise en charge : les 4 étapes décisives

Les hommes qui se traitent pour leurs troubles de l’érection suivent une démarche que l’on peut diviser en quatre étapes11. A certains moments, les femmes peuvent avoir un rôle déterminant.

1. Survenue des troubles de l’érection.
Souvent, les hommes relativisent leurs troubles, les associent à des événements extérieurs, et sont volontiers attentistes. C’est l’impact des troubles de l’érection sur leur psychisme, ou l’inquiétude sur les causes potentielles de leur problème sexuel qui les conduit à s’informer.
2. Recherche d’informations.
Les hommes recherchent les causes, les éventuelles maladies sous-jacentes, les solutions. Le principal canal d’information est Internet, les hommes déclarent avoir de grandes difficultés à trouver de l’information fiable. Si la partenaire intervient, est « supportive » (généralement des femmes plus jeunes que leur partenaire), cette phase peut être courte pour arriver très vite à la prise en charge.
3. Consultation.
Les motifs de consultation sont généralement une visite de routine déjà prévue au cours de laquelle le patient aborde le sujet (souvent en fin de consultation), la crainte d’une maladie sous-jacente, ou - rarement – une consultation spécifique pour les troubles de l’érection. Dans 2/3 des cas, le médecin traitant est consulté, les autres hommes préférant un praticien inconnu. La place de la partenaire dans cette démarche est très variable.
4. Prise en charge.
Une fois la prescription obtenue, le passage à l’acte d’achat du traitement ne semble pas particulièrement difficile. En revanche, dans la majorité des cas, le passage à l’utilisation du traitement est difficile (le patient dit manquer d’explications concrètes de la part du médecin, si ce n’est sur les effets secondaires…). Ceci n’aide pas à la mise en confiance. A noter que la durée de chaque étape-clef est variable et fonction à la fois des hommes mais aussi de leur partenaire. Si la partenaire est active, la durée de prise en charge est raccourcie de façon significative.


En savoir plus sur les troubles de l’érection 

Qu’entend-on par trouble de l’érection ?

*Les troubles de l’érection ou dysfonction érectile se définissent par une incapacité à obtenir et maintenir une érection suffisante pour permettre un rapport sexuel satisfaisant. Comme le souligne cette définition, la fonction érectile physiologique ne se réduit pas à des paramètres physiques de rigidité mais doit offrir la possibilité de relations sexuelles épanouies. La permanence des symptômes est l’un des critères de diagnostic des troubles de l’érection. En règle générale, le médecin considère qu’une persistance pendant un minimum de trois mois est nécessaire pour poser le diagnostic de dysfonction érectile12.

*Une dysfonction érectile peut être d’origine organique, psychologique ou mixte. Contrairement à ce que de nombreuses personnes croient, elle est d’origine organique ou mixte dans 80 % des cas  et seulement psychologique dans 20 % des autres cas ! En effet, même si le stress, l’anxiété, la fatigue peuvent perturber l’érection, les causes organiques d’une dysfonction érectile sont nombreuses : l’âge, les problèmes cardiovasculaires (hypertension artérielle, tabagisme, hypercholestérolémie…), les maladies métaboliques (surpoids, diabète, insuffisance rénale…), les troubles neurologiques, l’alcool, certains médicaments.

Quelle est la différence entre trouble de l’érection et impuissance ?

*Les « National Institutes of Health » (NIH) ont adopté le terme de dysfonction érectile ou troubles de l’érection, considérant que cette définition était mieux adaptée que le terme d’impuissance incluant d’autres problèmes tels que ceux liés à la libido, à l’éjaculation ou à l’orgasme. L’impuissance n’est pas une pathologie alors que la distinction et la validité de la dysfonction érectile comme pathologie par le corps médical peut être considérée comme acquise depuis au moins 1992.


L’âge a-t-il forcément une influence sur la fonction ou la dysfonction érectile ?

*Oui, avant l’âge de 35 ans la prévalence de la dysfonction érectile dans la population générale est minime (

Contact presse :
Bleu de Presse
Alice GRIBAUVAL
01 44 58 92 92



Retour page précédente

Pub
Lusopassion, le magazine des cultures lusophones LusoPassion.com, le magazine des cultures lusophones en France
Communiqués les plus consultés