Le préfet de Région a souhaité préciser à nouveau qu'il condamnait toute idée d'amalgame. L'islam n'a rien de comparable avec « cette entreprise souterraine de subversion qui vise à s'attaquer, au nom d'une vision archaïque et dévoyée de l'islam, à notre modèle démocratique et à nos principes républicains ».

Lors de cet échange, chacun a réaffirmé son attachement aux valeurs républicaines et la volonté partagée d'oeuvrer dans le vivre ensemble. Le préfet de région a confirmé, à nouveau, que l'État saurait pouvoir compter sur l'implication des cadres musulmans pour promouvoir, à ses côtés, le respect de ces valeurs, en particulier, celle de fraternité