Le Progrès de ce lundi consacre un long article à deux candidates refoulées des épreuves du CAPES (le 12 mars) pour s'être présentées à 8h58 au lieu de 8h40 comme demandé sur leur convocation.

Au lieu de ne s'en prendre qu'à elles-mêmes de leur négligence, elles accusent le Rectorat de discrimination.
Assurées de l'impunité garantie par le matraquage systématique "anti-raciste" et "anti-discriminatoire" ambiant, toutes les personnes manifestant quelque différence sont-elles fondées à se baser sur ce motif lorsqu'elles recueillent la juste sanction de leur non-respect des règles ?

Qu'auraient été en droit de dire les autres candidats, si l'on avait fait une exception pour ces deux jeunes femmes au motif de leur couleur de peau ?

Il faut en finir avec cette tyrannie de la discrimination positive. La loi doit être la même pour tous, en toute égalité quelque soit la couleur de peau ou le handicap. Sans discrimination, sans favoritisme.