Du 7 au 18 décembre 2009, le Sommet mondial sur le Climat de Copenhague va discuter du prochain traité mondial qui succédera au Protocole de Kyoto.

Bernard Deflesselles, Député des Bouches du Rhône,  fait part de son initiative et de L'Appel de Copenhague qu'il  lance à l'occasion du réchauffement climatique à partir de son site internet appel.bernard-deflesselles.com dans le but d'une mobilisation des concitoyens sur ce défit environnemental

Bernard Deflesselles souhaite une prise de conscience de la détérioration incontestable de notre planète et du danger qu'elle encoure dû au réchauffement climatique, aux activités humaines et à la consommation d'énergies fossiles carbonées (charbon, pétrole, gaz), hausse des températures ; élévation du niveau des mers ; fonte des glaciers et des banquises ; multiplication des phénomènes météorologiques extrêmes (tempêtes, inondations, sécheresses, canicules…)…

Sans action globale et mondiale immédiate, le réchauffement climatique en cours menace de s'accélérer : entre 1,2 et 6°C d'ici la fin du siècle. L'urgence climatique nous commande donc d'agir vite pour endiguer cette hausse à 2°C, « seuil acceptable et tolérable» pour la communauté scientifique internationale. 

L'ensemble des nations du monde doit s'engager dans la réduction de ses émissions de gaz à effet de serre. Globalement, nous  devons les diviser par deux d'ici 2050,  les diviser par 4 dans les pays industrialisés.

C'est pourquoi la mobilisation de chacun est essentielle !

Chefs d'Etat, responsables politiques, scientifiques, simples citoyens … nous sommes tous concernés.

Le sommet mondial sur le climat de Copenhague est l'occasion de mettre en place des actions indispensables à la survie de notre planète.  En effet, l'avenir de notre planète repose sur un changement profond de nos comportements, sur un nouveau schéma de société, sur un nouveau modèle de développement économique sans énergies carbonées.

Rapporteur pour l'Assemblée nationale avec Jérôme Lambert, Député PS des Charente, et chargé de suivre les négociations internationales menées sous l'égide des Nations Unies, Bernard Deflesselles mesure l'ampleur des difficultés à obtenir un accord global. Aujourd'hui, les négociations entre pays développés et pays émergents semblent piétiner.

Nous devons parler d'une seule voix pour que le sommet mondial sur le climat de Copenhague du 7 au 18 décembre prochains emporte l'adhésion de TOUS.