Réaction du Groupe UMP & Apparentés
suite à la démission de Pierre CREDOZ, maire de DECINES-CHARPIEU.



Nous apprenons ce jour par voie de presse la démission du 1° magistrat de la commune.    Jusqu'au bout M. CREDOZ aura dénigré son opposition comme les Décinois en ne les privilégiant pas pour cette information. Une lettre à la population aurait été appréciée.
Nous prenons acte de sa décision devenu un non-évènement, car annoncée depuis plus d'un an.
En 20 ans, il aura mené un développement non harmonieux de la commune, transformant notre village en une cité dortoir et en exilant une grande partie des services publics de proximité (sécurité sociale, caserne des pompiers, commissariat de police …).
Ces deux décennies de mandat s'achèvent par ce qu'il considère comme un acte politique majeur, mais le plus décrié de sa gestion : la signature du permis de construire du Grand Stade, laissant à présent les Décinois face à leur devenir.

Une effraction en guise d'élection :

Notre adversaire politique est maintenant Jérôme STURLA qui, selon le Progrès, est le dauphin désigné depuis un certain temps.
Ces méthodes de désignation démontrent l'irrespect envers les choix des Décinois.
Elles démontrent également le mépris envers les élus, tant de la majorité que de l'opposition.
Cette décision, personnelle, s'impose aujourd'hui à tout le monde, sans débat et sans consultation de la population.

Le 3 mars, il prendra la mairie par effraction, comme M. CREDOZ l'avait fait 20 ans auparavant. Cette pratique, de droit divin, est devenue courante chez les élus de gauche de notre agglomération, citons en exemples Bruno POLGA à St Priest, Maurice CHARRIER à Vaulx-en-Velin ou encore André GERIN à Vénissieux.

Une fois de plus, nous considérons qu'entre le discours de la démocratie participative et la méthode consistant à imposer tout et n'importe quoi, la majorité locale continue sa gestion despotique.