Si les tempes dégarnies de Jean Dujardin ou le crane luisant de Bruce Willis n'entame en rien leur séduction, il faut bien admettre que la calvitie ne sied pas à tout le monde ; particulièrement si certains s'obstinent à rabattre en mèche sur le front, les cheveux restant près des oreilles, à la façon d'un président de la république des années 70. Aujourd'hui un tiers des hommes souffre de calvitie et le choix s'oppose entre les implants, la tondeuse ou le renoncement ; Le postiche est devenu fort heureusement totalement marginal.
L'alopécie androgénique est l'association d'un déséquilibre hormonal et d'un facteur héréditaire, elle peut survenir dès la vingtaine pour atteindre son pic chez les quinquagénaires qui en sont atteints. Si la calvitie est une source de stress chez les hommes, elle est vécue comme une véritable mutilation chez les femmes qui pour elles, la perte de cheveux est plus diffuse, jamais totale et laisse la raie médiane élargie et clairsemée, comme nous indique de poignants témoignages sur
www.sanscicatrice.com. Ce sont elles qui consultent en grand nombre, au stade précoce de la calvitie les médecins greffeurs. Si la classique micro-greffe ou FUE reste un standard, cette méthode donne une densité souvent modeste qui nécessitera donc plusieurs interventions La technique du punch 2mm est issue de la même procédure que la FUE mais elle augmente par 4 ou 5 fois le nombre de cheveux prélevés en une seule fois qui seront implantés par « petits bouquets serrés» pour obtenir beaucoup plus de densité. Si les résultats « champs de poireaux » et « cheveux de poupée » étaient à déplorer dans les années 80/90, le punch 2mm a évolué et ne donnera jamais plus ce type de résultats inesthétiques. Le site
www.sanscicatrice.com rédigé par deux médecins français, abonde d'informations et de réponses pour tous ceux et celles qui souhaitent en finir avec la calvitie.