Le premier colloque régional des Médecines douces réunit thérapeutes de renom et médecins pour une journée exceptionnelle de conférences et débats
Des intervenants de qualité pour des conférences très variées• « L'objectif de ce premier colloque est de montrer que ces disciplines, qui aident à soulager, ont leur place à côté et en complément de la médecine conventionnelle. Nous voulons travailler avec les médecins et les hôpitaux, en accord parfait avec la médecine occidentale, » explique Elisabeth Messina, magnétiseur et acupuncteur à Allauch, présidente d'Apsamed (Association de Prévention pour la Santé par les Médecines Douces), organisatrice de l'événement. Et pour cette première, elle a décidé de frapper fort en réunissant une quinzaine de médecins et thérapeutes de grande qualité, qui s'exprimeront sur des thématiques aussi variées que la médecine du XXIe siècle (conférence menée par Martine Gardenal, homéopathe), la nutrition et la prévention des cancers (une intervention d'Henri Joyeux, cancérologue), la gestion du stress en médecine chinoise (par Jean Pelissier, médecine traditionnelle chinoise) ou le traitement non médicamenteux des douleurs musculaires (présentée par Jean-Marc Aimonetti, maître de conférences, chercheur en neurosciences). C'est Jean-Luc Bartoli, magnétiseur de réputation internationale, qui ouvrira le bal avec la présentation d'un livre très attendu, tout juste sorti des presses, où il décrit sa pratique et plaide pour une entente entre médecine non conventionnelle et médecine officielle. Un esprit d'ouverture conforté non seulement par le soutien du corps médical, mais aussi par le vif intérêt d'hommes politiques tels que Richard Mallié, chirurgien-dentiste et député des Bouches-du-Rhône, ou Philippe Vitel, chirurgien de la face et du cou, député du Var. Ils joueront les modérateurs autour de la table ronde intitulée “Les médecines douces, compagnes de la médecine conventionnelle”.
Un cadre prestigieux et un très large public • C'est au cœur d'un lieu tout aussi prestigieux que le CV de ses invités qu'Elisabeth Messina a choisi de les réunir pour cette journée du 29 janvier : le Château de la Buzine, rendu célèbre – et possédé un temps – par Marcel Pagnol dans Le château de ma mère, bientôt réouvert après des mois de travaux par la ville de Marseille – dont il est la propriété depuis plus de 15 ans – qui souhaite en faire une Maison des Cinématographies de la Méditerranée. Près de 300 participants sont d'ores et déjà inscrits afin d'écouter nos orateurs, thérapeutes en médecines douces et médecins, mais aussi curieux ou convaincus. « Le public est de plus en plus averti et de plus en plus demandeur de thérapies alternatives, reprend Elisabeth Messina. Savez-vous que 7 personnes sur 10 ont consulté ou consulteront au moins une fois dans leur vie* un thérapeute en médecine douce ? Cela concerne environ 42 millions de Français ! Il s'agit de répondre à cette demande avec une information de qualité et des thérapeutes qui exercent dans les règles de l'art. C'est ce que nous nous efforçons de promouvoir avec l'association Apsamed, et de valoriser par cette journée exceptionnelle. » (*) Source : Enquête 12-14 Ouest, France 3 Bretagne, 30 avril 2005
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