Un livre sulfureux de Paul Véglio, édité en février 2013, qui n'épargne personne en évoquant des faits irréfutables.
EMBRASURES est un texte, à mi-chemin entre l'essai et la philippique. Témoignage critique d'un français ordinaire, d'un de ces invisibles qui n'ont jamais la parole mais dont on interprète librement l'opinion au travers d'enquêtes ou de sondages sujets à caution.
Il vise à dénoncer ou réfuter la façon, souvent tendancieuse ou carrément mensongère, utilisée par ceux qui monopolisent le discours public pour modeler à leur convenance l'histoire ou l'actualité.
Il est écrit sans plus de prétentions que cette chronique d'un anonyme (Le journal d'un bourgeois de Paris), contemporain de Jeanne d'Arc et qui commentait, vu de sa fenêtre disait-il, des faits marquants de son époque.
Son premier chapitre plante le décor : la dénonciation d'une forme de tromperie particulièrement vicieuse qu'on appelle la désinformation.
C'est donc « vu de mes embrasures », puisque je ne me suis pas toujours contenté d'observer de loin mais que je suis aussi, quelques fois, monté au créneau.
Bien que certains m'aient directement concerné, EMBRASURES n'est pas un recueil de souvenirs, ceux-ci forment juste un arrière plan visant à restituer le contexte dans lesquels s'inscrivent les sujets évoqués. Certains d'entre eux m'ont conduit à adopter un ton de polémiste pour tenter de rétablir quelques vérités oubliées, écornées ou falsifiées.
Ceci étant, il s'agit essentiellement d'une réflexion que j'espère pas trop pédante, concernant les méfaits de la pensée unique, début de la tyrannie, et le consensus mou, commencement du renoncement.
Malheureusement, aujourd'hui, on lit de moins en moins, excepté peut-être, les journaux sportifs et les romans à la mode. Ce déficit d'effort de lecture qui contrarie la réflexion et l'exercice d'un jugement critique, fait insensiblement glisser vers un moule commun et uniformisé : la pensée politiquement correcte, l'une des multiples traductions du political correctness anglo-saxon ou « comportement visant à minimiser les risque de frictions dans les rapports humains ».
Dans ces pages j'use souvent de citations mises en italique, en m'assurant que, même tronquées, elles restent parlantes sans induire en erreur.
Je mentionne évidemment un certain nombre d'homme célèbres ou connus pour avoir joué un rôle plus ou moins décisif dans les événements d'un passé récent, quelques criminels aussi. J'évoque également des personnages faisant partie de ce qu'on appelle « l'Etablissement », pour lesquels je n'éprouve aucune espèce de sympathie, je dirai pourquoi. Bref, je cite un certain nombre de personnages dont le nom est évocateur de certaines pages de notre histoire récente, dans la grandeur ou le mérite comme dans l'indignité.
Je ne défend pas des choix politiques personnels qui ne concernent que moi. Je fais simplement mention de mes engagements parce que je ne les renie pas et qu'ils rendent compte d'un état d'esprit, plus ou moins partagé, à un moment donné.
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