Nous nous félicitons que notre mobilisation, celle des familles et du personnel aient payé.

Grâce à la responsabilité de l'Etat qui, malgré un contexte budgétaire difficile, s'est engagé à prolonger son effort jusqu'en 2014, l'internat Adolphe Favre va pouvoir continuer d'exister.

Nous évitons ainsi un véritable recul de la politique sociale de Lyon. Rappelons que cet internat existe depuis la fin du 19e siècle pour les filles et 1910 pour les garçons.

Nous avions fortement dénoncé la fermeture brutale à laquelle voulait se livrer Gérard Collomb. Son recul est une victoire pour l'humanisme lyonnais si souvent mis à mal ces derniers temps.