C'est au lendemain du jour où la justice m'a lavé des accusations iniques dont j'étais l'objet que quelques groupuscules extrémistes ratiocinent avec impudence sur mes émoluments.
Ils devraient me présenter des excuses et prendre acte qu'il est urgent que je reprenne mes cours à l'Université, qu'ils s'ingénient en ce moment même à paralyser.
Je n'aspire pas à toucher tout ou partie de mon traitement à ne rien faire ; j'entends reprendre mes cours, comme j'en ai plus que jamais le droit et le devoir.
Et cette aspiration, chacun le sait, est aussi celle de mes étudiants.