Vient de paraître le recueil "La mécanique de l'oubli". Il se compose d'une première série de textes en prose, puis d'une série de distiques.
Il serait l'accueil d'une écriture faite dans une positive indifférence à la surenchère faite au sujet, au quotidien, aux références et tendances culturelles.
L’oubli du monde au sens phénoménologique laisserait ainsi peut-être émerger, clandestine et fragmentaire, une vie, telle quelle (la vie n’étant pas la généralité d’un concept, mais une incarnation, une fois chaque fois).