Paris, le 11 septembre 2009 - TelecityGroup opérateur leader de data centres neutres premium en Europe annonce son adhésion à l’Internet Watch Foundation (IWF).
L’IWF a été fondée en 1996 par des acteurs de l’Internet pour proposer un service de reporting facilitant la suppression des contenus en ligne potentiellement illégaux, comme la maltraitance sexuelle à l'égard des enfants, les contenus obscènes et criminels et l’incitation à la haine raciale. Elle travaille en partenariat avec les services de police, le gouvernement, l’industrie et le grand public, pour lutter contre la présence de contenus illégaux et soutenir les initiatives destinées à lutter contre les abus en ligne. Passerelle entre le Royaume-Uni et l’Europe, l’organisme britannique vise à renforcer la sensibilisation sur les problèmes, les tendances et les responsabilités au niveau mondial.
En conséquence et depuis 2003, le Royaume-Uni héberge dorénavant moins de 1 % des contenus de type maltraitance sexuelle à l'égard d’enfants, contre 18 % en 1997.
Geoff Donson, responsable sécurité chez TelecityGroup, déclare : « Nous sommes intimement persuadés que le secteur doit collaborer pour fournir un environnement hostile aux contenus illégaux en ligne. Les travaux de l’IWF sont extrêmement utiles. Son Code of Practice et son système de reporting représentent un excellent réseau d’assistance pour le secteur et les utilisateurs. Nous sommes très heureux de les soutenir. »
L’IWF propose une « Hotline », un système de reporting qui aide les acteurs de l’industrie online à lutter contre le mauvais usage de leurs services. L’initiative « notice and take-down » (avertir et supprimer) alerte les organisations de la présence de contenus potentiellement illégaux hébergés sur leurs systèmes ou sites. La police peut alors être avertie, afin d’enquêter sur les responsables de ce contenu.
Cette approche basée sur le partenariat est de plus en plus reconnue au niveau international, aussi l’expérience et l’expertise de l’IWF sont partagées avec un public mondial, pour augmenter la sensibilisation aux problèmes du contenu illégal en ligne.
Peter Robbins (OBE, QPM) directeur exécutif de l’IWF, commente : « Nous sommes très heureux d’accueillir TelecityGroup. Notre impact public, politique et international progresse, et nous voulons élargir notre partenariat avec le secteur online, dans un front commun contre les contenus révélateurs d’abus sexuels à l'égard des enfants. Le Royaume-Uni ouvre la voie avec la réussite de cette approche autorégulée, globale, dynamique et volontaire, en vue d’un Internet plus sûr dans le pays. »
Pour de plus amples informations : http://www.iwf.org.uk
À propos de l’Internet Watch Foundation (IWF):
L’IWF est au Royaume-Uni la seule organisation reconnue qui propose une ‘Hotline’ Internet, accessible au public et aux professionnels de l’informatique, pour signaler la présence involontaire de contenus potentiellement illégaux. Son but est de réduire la disponibilité de tels contenus, notamment les images de maltraitance sexuelle à l'égard des enfants (quel que soit leur lieu d’hébergement dans le monde), les contenus obscènes à un niveau criminel et d’incitation à la haine raciale (hébergés au Royaume-Uni).
L’IWF est un organisme autorégulé, financé par l’UE et l’industrie online dans son ensemble. Il regroupe notamment de fournisseurs d’accès Internet (FAI), des opérateurs mobiles et des constructeurs, des fournisseurs de services de contenu, des sociétés de télécommunication et de filtrage, des fournisseurs de services de recherche, d’entreprises du secteur financier et de premier plan ainsi que d’autres organisations, soutenant la fondation pour des raisons de responsabilité sociale d’entreprise.
Grâce à la ‘Hotline’ de reporting, la fondation aide les FAI à lutter contre l’utilisation non appropriée de leurs services. Le service ‘notice and take-down’ permet ainsi de les prévenir de la présence sur leurs systèmes de contenus potentiellement illégaux, dans les limites de compétence de la fondation, tout en invitant la police à enquêter sur le responsable de leur publication.
En conséquence, il apparaît que depuis 2003, le Royaume-Uni héberge moins de 1 % des contenus potentiellement illégaux, contre 18 % en 1997.
Veuillez noter que les termes "child pornography" (pornographie infantile), "child porn" et "kiddie porn" ne sont pas acceptables. Leur utilisation tend à légitimer des images qui ne sont pas de la pornographie sensu stricto, mais qui sont en fait un témoignage permanent d’enfants soumis à une maltraitance sexuelle. Ce contenu doit donc être qualifié d’images de maltraitance sexuelle à l'égard des enfants.
Pour de plus amples informations, veuillez consulter le site www.iwf.org.uk
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