L’Ontario mène une lutte sans merci contre le cancer du sein
Le gouvernement McGuinty soutient la nouvelle approche de dépistage précoce
La province de l’Ontario a été choisie pour mener à bien la conception et l’évaluation de nouvelles technologies pour le dépistage du cancer du sein.
GE Healthcare a choisi Hamilton comme première ville au monde à recevoir de nouveaux prototypes technologiques destinés au programme de recherche sur l’imagerie moléculaire du sein. Les chercheurs de Hamilton concevront et dirigeront des essais cliniques pour évaluer les nouvelles technologies qui recourent à des détecteurs d’imagerie moléculaire pour dépister le cancer du sein. Cette stratégie de pointe pourrait permettre de déceler de minuscules tumeurs et, du coup, de procéder à des interventions précoces. Les essais cibleront les femmes à risque élevé pour lesquelles la mammographie actuelle manque d’efficacité.
Si GE Healthcare a choisi Hamilton, c’est du fait du solide partenariat qui existe entre l’Institut ontarien de la recherche sur le cancer, le Centre pour le développement et la commercialisation des traceurs, ainsi que les programmes d’oncologie et de médecine nucléaire de l’Université McMaster et de Hamilton Health Sciences .
Depuis 2003, le ministère de la Recherche et de l’Innovation a engagé près de 435 millions de dollars pour soutenir le travail d’envergure mondiale accompli par ces établissements. En outre, par l’intermédiaire de l’Institut ontarien de la recherche sur le cancer, il contribue au projet à hauteur de 450 000 $.
« Les percées scientifiques que nous réalisons ici aideront les familles de l’Ontario, ainsi que des millions de gens du monde entier, à mener une vie meilleure, plus saine et plus longue » a déclaré le Ministre de la Recherche et de l’Innovation, M. John Wilkinson.
« Notre objectif est de diagnostiquer le cancer au tout début. Ces technologies peuvent avoir un gros impact sur les soins offerts aux patientes à risque élevé dont les minuscules tumeurs ne peuvent pas être décelées par la mammographie. Nous espérons que ces technologies conduiront à anticiper le dépistage, à améliorer le traitement et enfin, à sauver des vies » a fait observer le Dr. Tom Hudson, Président et Directeur scientifique de l’Institut ontarien de la recherche sur le cancer.
« L’ouverture du Centre pour le Développement et la Commercialisation des Traceurs (CDCT) à Hamilton, a donné naissance à un lien entre le gouvernement, les chercheurs, les fournisseurs de soins de santé et l’industrie. Le CDCT et ses partenaires s’emploient à concevoir et à évaluer des technologies de pointe qui pourraient déceler et diagnostiquer des maladies comme le cancer plus tôt et avec plus d’exactitude» a affirmé le Dr John Valliant, Président-directeur général et Directeur scientifique.
Chaque année, en Ontario, on diagnostique le cancer du sein chez 8 500 femmes.
D’après la Mayo Clinic, si l’on décèle le cancer du sein au tout début, le taux de survie est de 98%.
L’Ontario est le plus grand centre des sciences de la vie du Canada et le quatrième centre de recherche biomédicale d’Amérique du Nord.
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Iris Conseil Christine Arnal
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