Quand on est dirigeant, vendre son entreprise ou lever des fonds est souvent synonyme de parcours du combattant, voire de cauchemar angoissant. Soit on se lance tout seul et des erreurs aux conséquences dramatiques sont souvent commises, soit on fait appel à une société de conseil spécialisée.
Mais là non plus la solution n'est pas si simple. Quand on a une PME, on ne convient pas aux grandes sociétés de consulting parce qu'on est trop "petit" si on ne fait pas plus de 100 millions de chiffres d'affaires. Et de toute façon, leurs honoraires sont totalement dissuasifs. Il y a pire : quand on réussit à trouver un conseiller, on s'aperçoit avec stupeur que certains acteurs ne connaissent visiblement rien au monde de l'entreprise… Ils se comportent comme des marchands de biens ou des agents immobiliers, avec un objectif très clair : faire du chiffre, jouer sur la quantité plutôt que sur la qualité des transactions.
Dans ce contexte, il n'est pas étonnant que le Groupe Actoria Conseil se soit rapidement développé grâce au bouche à oreille. Son positionnement radicalement différent : apporter aux PME un maximum de compétences techniques pour un coût raisonnable et dans un contexte international.
Fabrice Lange, fondateur et dirigeant d'Actoria, précise : « Nous avons un haut niveau de confiance réciproque avec nos clients. Lorsqu'on nous confie un mandat, c'est comme si c'était notre propre entreprise, notre engagement est total dans le représentation de nos clients cédants ».
Actoria un accompagnement sur mesure conçu pour les PME.
Depuis 14 ans, le Groupe Actoria accompagne les dirigeants qui veulent céder leur entreprise (retraite, changement d'activité, de région, de pays…) ou ouvrir leur capital afin d'intégrer un partenaire financier ou industriel dans le développement de l'entreprise ou dans la préparation d'une succession.
Une trentaine de consultants expérimentés apportent leur savoir-faire pour trouver des solutions sur mesure, des montages sophistiqués, et répondre aux attentes de leurs clients.
L'une des forces d'Actoria est d'avoir développé un portefeuille de 3000 repreneurs et investisseurs potentiels au niveau international et sur tous les secteurs d'activités. Mais pour pouvoir profiter de ce réseau, il faut montrer patte blanche, une sélection rigoureuse des dossiers est opérée en amont. La taille de l'entreprise n'entre pas en ligne de compte, mais la qualité de sa gestion est déterminante. Il faut se mettre à la place du repreneur : comme des banques financent des opérations sur 5 à 7 ans, le plan de financement et donc la valorisation de l'entreprise doivent être crédibles.
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Fabrice Lange