La pratique de la crémation, quasiment inconnue des Français il y a 35 ans (1 %), n'a cessé de progresser. Alors qu'elle représentait 25 % des modes de sépulture en 2005, la crémation est aujourd'hui choisie par un tiers des Français (34 % en 2014). Egalement observé chez nos voisins européens, cet essor devrait placer la crémation à part égale avec l'inhumation à l'horizon 2030. 

Quelles sont les raisons de ce développement ? Les codes de notre société ont-ils changé ou influé notre regard sur le décès ? A quoi les professionnels doivent-ils se préparer pour accompagner ce mode de sépulture en pleine croissance ? 

Autant de questions sur lesquelles OGF a souhaité se pencher pour la Toussaint.

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