Les choix de la technique d'impression et de son support sont aussi déterminants pour le client que pour l'agence de communication. colegram, agence de communication à Genève, tente d'éclaircir le sujet en quelques lignes.

Au delà d'un choix de prestataire, la question essentielle avant toute production print est celle du choix de la technique d'impression elle-même. Evidemment, le travail du graphiste en amont est capital, mais l'adéquation entre type de projet et type d'impression constitue l'enjeu majeur de la production.

Le client est généralement novice dans ce domaine, d'autant plus face au développement des technologies et la variété en terme de rendu final proposée par les imprimeurs. Mais il a tout de même des exigences de qualité et, bien sûr, de budget. Le rôle de l'agence de communication est donc d'adapter ses choix techniques aux attentes du client.

Certains critères sont décisifs, que ce soit la qualité, le coût, ou encore le délai. Pour exemples, l'impression offset offre un rendu proche de la perfection en termes de reproduction d'images et de texte, ainsi qu'un rendement optimal. Mais elle a un coût de mise en œuvre élevé et n'est rentable que pour un grand nombre d'exemplaires. D'autre part, la sérigraphie sera adaptée aux plus petits tirages et grands formats pour un coût de mise en œuvre minimum. Mais la trame d'impression est plus grossière.

En ce qui concerne l'impression numérique laser, la mise en œuvre est simple mais le procédé très long. Elle sera donc préférée pour les petits tirages et les affiches. Une dernière solution est possible, plus coûteuse que la laser, mais pour un rendu proche de la qualité offset et adaptée aux tirages faibles: la technique dite numérique tramée.

La connaissance du prestataire, qui propose souvent plusieurs solutions, est donc nécessaire pour émettre une demande cohérente avec sa spécialité et son efficience.

Une fois la technique d'impression choisie, le travail de l'agence de communication, en amont de la production, se poursuit: d'une part l'account manager doit proposer un papier adapté (du point de vu esthétique comme mécanique); d'autre part le graphiste doit préparer le fichier pour qu'il réponde aux contraintes techniques.

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