C'est dans un style révolutionnaire et prenant aux tripes que Didier Serbourdin (alias Didier Ambact, nom d'artiste) s'exprime.
Un style littéraire déjà reconnu par la ville de Nanterre où il a eu le premier prix de concours de nouvelles.
Des années après, c'est le bouleversement de sa vie privée qui conduit l'auteur dans une quête intérieure. C'est l'histoire d'un homme perdu lancé sur les traces de sa personnalité morcelée.
Nuit après nuit, il déverse sur les blogs ses déboires, ses souffrances, mais surtout l'analyse de chaque jour passé.
Internaute après internaute, mot après mot, ce n'était plus une simple question de libération, mais enfermé par la tournante des incessantes réclamations de ses lecteurs, l'écriture-remède devient une drogue dont il ne peut se passer. Acculé par tous, il finit par céder à la pression et Maison Dieu est né, concentré de psychologie où l'être seul devant son écran, seul face à des inconnus, est mis à nu.
Il lance ces courtes notes acérés écrites électroniquement comme on lance des lames aiguisées. » (in Préface de Thierry Jolif)
Une belle leçon d'écriture inédite par le style et par l'étude sociale qu'elle représente.
Hugues Facorat
Contact presse :
Hugues Facorat