Les tabellions français avaient prévu que le marché de la pierre subirait une légère baisse côté coût en début d'année 2012.

Comme une conséquence du mouvement remarqué au niveau des transactions immobilières en fin 2011 et en raison des conséquences qu'aura eu la nouvelle réforme sur les plus values à son effectivité, les notaires français avaient prévu une chute importante côté coût et une hausse en termes de quantité des transactions finalisées sur le domaine des biens immobiliers. Une évaluation des transactions pour l'année 2012 leur a donné raison, du moins dans le premier mois en 2012. Il est désormais facile de faire un résultat sur la vente maison ou aussi la vente appartement grâce à une agence de qualité.

Effectivement, des propriétaires de maisons de vacances et autres immeubles de location désireux de vendre devaient forcément le faire avant fin janvier 2012 afin de profiter du précédent régime sur le plan fiscal et s'épargner d'énormes dépenses consécutives à l'impôt sur la plus-value, valable en ce moment. Effectivement, la base du nouveau régime c'est que les taux d'abattement varient de 0 à 92% suivant la durée de détention d'un bien par le propriétaire et qu'il faudrait donc attendre trente ans avant de profiter d'une exonération totale de l'impôt des plus-values . Et la résidence familiale restant l'unique épargnée par la nouvelle réforme, chaque personne souhaitant vendre un autre bien immeuble qu'elle ne posséde que depuis 6 années entre-autres, ne pourra profiter que d'une exemption de 2% des plus values à la cession du bien, sans compter les impôts sociaux.

En conséquence, nous avons noté une augmentation assez généreuse de l'immo et aussi du pourcentage de transactions réalisées au courant du mois de janvier 2012. Et dès le 2ème mois, les prix ont augmenté d'une manière nette, particulièrement en Ile-de-France et naturellement, il y a assez peu de ventes effectuées dans cette région comparé au même mois de 2011. La zone parisienne conserve malgré tout sa cotation, l'offre serait pratiquement inférieure à la demande car cette région maintient sa réputation de luxe et les acteurs de ce marché ne seraient pas généralement touchés par les conjonctures financières.