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Communiqué de presse : politique

Le livre "Embrasures"

Auteur/Editeur

Communiqué le 11/03/2013
Sortir en Févier 2013:"Embrasures", un livre sulfureux qui n'épargne personne.

Introduction

Le tour de passe-passe de l'adoption par voie parlementaire du traité de Lisbonne, en 2009, simple copié-collé du projet de constitution européenne catégoriquement rejeté par référendum en 2005, m'avait indigné. Après mûres réflexions j'ai donc décidé, en 2011, de coucher sur le papier le récit d'événements significatifs et souvent dramatiques, que je portais depuis longtemps en moi et qui m'avaient déjà scandalisé en leur temps.
Ce texte, à mi-chemin entre l'essai et la philippique, est le témoignage critique d'un français ordinaire, d'un de ces invisibles qui n'ont jamais la parole mais dont on interprète librement l'opinion au travers d'enquêtes ou de sondages su jets à caution. Il vise à dénoncer ou réfuter la façon, souvent tendancieuse ou carrément mensongère, utilisée par ceux qui monopolisent le discours public pour modeler à leur convenance l'histoire ou l'actualité.
Il est écrit sans plus de prétentions que cette chronique d'un anonyme (Le journal d'un bourgeois de Paris), contemporain de Jeanne d'Arc et qui commentait, vu de sa fenêtre disait-il, des faits marquants de son époque.
Mon premier chapitre plante le décor : la dénonciation d'une forme de tromperie particulièrement vicieuse qu'on appelle la désinformation. Ce sera donc « vu de mes embrasures », puisque je ne me suis pas toujours contenté d'observer de loin mais que je suis aussi, quelques fois, monté au créneau à mes risques et périls.

Pour témoigner j'ai écarté le « blog », facile à créer et à consulter via Internet, car sa lecture est trop volatile, et je m'en suis tenu à l'écrit traditionnel en commentant dans une suite de chapitres les grands événements politiques ou sociétaux qui ont ponctué ma vie.
Bien que certains m'aient directement concerné, ce n'est pas un recueil de souvenirs, ceux-ci forment juste un arrière plan visant à restituer le contexte dans lesquels s'inscrivent les sujets évoqués. Certains d'entre eux m'ont conduit à adopter un ton de polémiste pour tenter de rétablir quelques vérités oubliées, écornées ou falsifiées.
Ceci étant, il s'agit essentiellement d'une réflexion que j'espère pas trop pédante, concernant les méfaits de la pensée unique, début de la tyrannie, et le consensus mou, commencement du renoncement.
Le lecteur pensera peut-être que je ne suis ni le premier ni le plus talentueux qui se sera essayé à cet exercice. C'est évident mais multiplier les témoignages n'est jamais inutile lorsqu'on voit comment l'information est verrouillée ou manipulée, à leurs avantages, par des groupes de pression voulant établir - ou maintenir - leurs pouvoirs sur l'opinion publique.

Certes, ceux qui ont facilement accès aux médias, parce qu'ils font parti de telle ou telle oligarchie, ne sont pas tous partiaux ou sectaires mais il est patent qu'une large majorité d'entre eux (en premier lieu les politiques et les journalistes), ne font pas de l'objectivité une vertu cardinale, c'est le moins qu'on puisse dire.
Certains artistes en vogue non plus, qui font partie de l'élite d'argent et qui, nonobstant l'inculture que beaucoup laissent transparaître, profitent de leur notoriété pour étaler leurs états d'âme partisans.
Tous ces gens là que j'appelle des « faux témoins » car mus par un esprit de clan ou de caste, voire par intérêt personnel ou idéologie sectaire, ont peu à peu occupé tout le terrain médiatique et chassent désormais en meutes, utilisant la technique de la répétition d'affirmations fausses ou biaisées pour orienter l'opinion (quant ils ne se vantent pas avec arrogance de vouloir la façonner).
Pour cela, l'outil idéal est, évidemment, la télévision qui hypnotise, gave et endort le jugement, malgré la multiplication des stations, toutes dépendantes d'oligarchies politiques, financières ou médiatiques qui les contrôlent au mieux de leurs intérêts croisés, par journalistes (j'allais écrire : commis de presse) interposés. Il ne faut donc pas s'étonner de retrouver presque toujours la même composition de pâté d'alouettes en guise de pluralisme dans les débats d'idées et la même tonalité conformiste dans le déluge de nouvelles dont nous sommes abreuvés.
Fort heureusement, le développement exponentiel d'Internet contribue au rééquilibrage de l'information malgré les tentatives répétées pour mettre cet outil sous contrôle. J'y ai puisé pour valider la chronologie ou l'exactitude des sujets abordés.
Malheureusement si, aujourd'hui, on consulte à longueur de temps toutes sortes d'écrans, notamment les réseaux sociaux et les blogs, on lit de moins en moins, excepté peut-être, les journaux sportifs et les romans à la mode. Ce déficit d'effort de lecture qui contrarie la réflexion et l'exercice d'un jugement critique, fait insensiblement glisser vers un moule commun et uniformisé : la pensée politiquement correcte, l'une des multiples traductions du political correctness anglo-saxon ou « comportement visant à minimiser les risque de frictions dans les rapports humains ».
On comprend que cette attitude soit activement prônée par les porte-paroles de ceux qui tirent les ficelles d'une marionnette qu'ils veulent nous faire prendre pour l'opinion publique, puisque débats, controverses et échanges d'idées, peuvent ainsi être édulcorés, sinon évités autant que faire se peut, au bénéfice d'un consensus a minima, le plus large possible. Résister à cette entreprise n'est donc jamais inutile, même si cela doit déranger ou bousculer bien des idées reçues.

Dans ces pages j'userai souvent de citations mises en italique, en m'assurant que, même tronquées, elles restent parlantes sans induire en erreur. En revanche, je ne m'appuierai sur aucune bibliographie pour étayer mes points de vue, cela n'aurait pas vraiment de sens étant donné le genre que j'ai voulu donner à cet ouvrage.
Je mentionnerai évidemment un certain nombre d'homme célèbres ou connus pour avoir joué un rôle plus ou moins décisif dans les événements d'un passé récent, quelques criminels aussi. J'évoquerai également des personnages faisant partie de ce qu'on appelle « l'Etablissement », pour lesquels je n'éprouve aucune espèce de sympathie, je dirai pourquoi. Bref, je citerai un certain nombre de personnages dont le nom est évocateur de certaines pages de notre histoire récente, dans la grandeur ou le mérite comme dans l'indignité.

Je ne défendrai pas des choix politiques personnels qui ne concernent que moi. Je ferai simplement mention de mes engagements parce que je ne les renie pas et qu'ils rendent compte d'un état d'esprit, plus ou moins partagé à un moment donné. Au reste, je ne suis plus maintenant de ceci ou de cela mais, tout simplement, de ce cher vieux pays plus que millénaire qu'on appelait jadis la Grande Nation. De cette singularité de l'Histoire qui en agace plus d'un et qui, pourtant, reste un modèle de référence universel.
Pourvu que ça dure disait souvent Madame Letizia, la mère de Napoléon, qui avait les pieds sur terre et savait que rien n'est jamais définitivement acquis, si grand qu'on fut devenu. Je pense que cette singularité perdurera tant que les Français cultiveront et défendront leur mémoire, sans agressivité mais aussi sans honte, en se souvenant qu'ils font partie de cette Nation qui a été la Fille aînée de l'Eglise et la Mère des Droits de l'Homme.

J'espère, modestement, y contribuer en évoquant quelques magistrales manipulations de notre histoire récente, afin que ceux qui me liront se souviennent de la façon dont elles ont été  montées et où elles ont conduit, car leur connaissance permet de comprendre leurs mécanismes et d'éviter de tomber dans le piège subtil de l'information truquée.

Contact presse :
Editions de Saint Amans

7 bd Félix Mercader 66000 Perpignan.

direction.editoriale@editionsdesaintamans.com



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