La non signature par Mme Comparini du manifeste de l’entente parlementaire relative à « la défense du droit de l’enfant d’être accueilli et de pouvoir s’épanouir dans une famille composée d’un père et d’une mère » s’accompagne actuellement d’une apologie de l’homoparentalité dispensée par les représentants nationaux des jeunes UDF. Le droit de l’enfant y est dominé par le droit à l’enfant, comme s’il était possible d’exprimer des droits sur des êtres humains sans s’intéresser aux leurs ! Plus inquiétant, les arguments évoqués montrent une confusion entre un juste besoin d’accompagnement de personnes à tendances homosexuelles présentant une souffrance liée à un mal d’adoption, et une demande d’institutionnalisation de situations contraires au bien commun. Celles-ci conduiraient à d’autres souffrances, plus nombreuses et plus irréversibles, touchant les enfants alors qu’ils sont les plus faibles et les plus fragiles de la société.
Pour poursuivre la réflexion, voir l’avis des personnes ayant vécu l’adoption sur le site www.avenir-adoption.org
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