Le Salon de la Mort a eu lieu ce week-end à Paris.

Ad Caelum a profité de cet évènement pour annoncer le lancement de son site internet.

Vous trouverez ci-joint le communiqué de presse de cette jeune entreprise lyonnaise. Atypique.

Laurence Van Accoleyen, Lyonnaise de 35 ans, lance Ad Caelum : la marque du deuil.
C'est la naissance d'un concept novateur qui offre à toute personne touchée par un décès la possibilité de vivre son deuil.

Ad Caelum est né du constat suivant : notre société actuelle occulte facilement la mort. Au niveau de l'inconscient collectif, pour éviter de souffrir, la mort est passée sous silence et il faut que la peine s'efface vite
Or, plus la mort est cachée, niée,  plus les individus ont du mal à entamer un travail de deuil et à se remettre de l'épreuve de la perte d'un proche.
Il y a 60 ans, en cas de décès dans un village, le glas sonnait, une visite était faite à la famille en deuil avant et après les funérailles, une ou plusieurs veillées funèbres étaient organisées, les gens portaient le deuil (...) Autant de signes de partage qui peuvent paraître désuets en 2011 mais qui permettaient d'entretenir le lien entre les hommes et qui constituaient un vrai réconfort pour la personne en deuil.
Pour pallier  cette perte de repères, ce manque de rites, Ad Caelum propose via son site internet toute une gamme de produits et services à ceux qui ont perdu un proche, et ce, dans le respect des croyances et de la sensibilité de chacun.
D'après une étude de marché réalisée pour Ad Caelum en janvier et février 2011 plus d'une personne sur deux regrette de ne plus pouvoir porter le deuil. Et parmi les 50% qui ne le regrettent pas, la moitié se dit pourtant prête à porter le deuil s'il était possible de le faire de manière adaptée à notre époque.
« Signe de deuil » est le produit phare de la ligne Ad Caelum, la nouvelle façon de porter le deuil, une manière discrète, actuelle, de prévenir (ou informer) l'entourage large que l'on a perdu un proche. Après un décès, il faut reprendre le travail, continuer à avoir une vie sociale malgré la douleur.  « Signe de deuil » est une épinglette à positionner sur le revers de sa veste, sur un tee-shirt (…) pour signifier aux personnes que l'on croise chaque jour que l'on vit une période difficile. On ne porte pas le deuil pour se faire plaindre mais pour que la douleur soit respectée et entendue,  même « dans le silence ».