La Symphonie de l'Utopître, une Symphonie d’un genre nouveau!
Suite à leur rencontre du 25 novembre 2003 aux « Concerts de la cité » pour une première collaboration, Philippe FOURNIER et Marc JOLIVET ont pris depuis leur talent à quatre mains pour nous composer une véritable symphonie en rire majeur.
Car c’est bien de rire dont il est ici question - un rire dans tous ses états : celui de l’ironie quand Jolivet nous parle de nos petits maux quotidiens, ou le rire aux éclats quand il est question d’un certain « gardien de public» ou d’une « caisse de tuiles ».

L’Utopître est de retour – et Marc JOLIVET prend un malin plaisir à incarner une nouvelle fois ce personnage qui fit à l’occasion d’une centaine de représentations au théâtre de Bobino la joie du public parisien. Et conformément à sa fonction, le personnage de l’Utopître, incontrôlable et ingérable par nature, revient « … oui mais en musique cette fois », et nous faire rire en critiquant l’ordre établi, inoculant dans nos rêves et nos fantasmes une part de rébellion et d’insoumission.
>la présence de l’Orchestre : l’autre personnage du spectacle.
« Ici la musique est la clé de voûte du spectacle - elle n’est pas là pour accompagner, elle est véritablement le second personnage sur scène aux côtés de Marc Jolivet, car à l’image des premiers films de cinéma où Chaplin et Buster Keaton accumulaient les situations rocambolesques, la musique est au cœur du processus comique de l’action. Mais elle ne se limité pas à être une bande son car nous avons ici tout un orchestre transformé pour l’occasion en véritable acteur – trente-trois acteurs musiciens pour être précis.» explique Philippe Fournier, directeur musical de l’Orchestre Symphonique Lyonnais et co-créateur du spectacle avec Marc Jolivet.
Et la musique aussi est un univers où les situations comiques ne manquent pas : L’Utopître apprendra d’ailleurs à ses dépends ce que jouer « par intermittence » signifie vraiment.
« Mais ne dévoilons pas tout. Car tout reste à voir, à entendre et à rire ! » nous promettent Marc Jolivet et Philippe Fournier.