Présentation de la Société
La Raffinerie du Midi a été créée en 1883 en tant que premier importateur et raffinerie de pétrole en France. Depuis, son cœur de métier a changé et consiste à gérer 10% du raffinage réalisé en France, soit un chiffre d’affaires de 14.500 K€ en 2006. Son activité est de réceptionner, stocker et redistribuer les produits d’hydrocarbures liquides qui lui sont confiés, ceci avec les plus grandes garanties de qualité et de quantité.
Cinq produits sont stockés : le supercarburant, l’essence sans plomb 95, l’essence sans plomb 98, le gazole et le fioul domestique. Les hydrocarbures sont réceptionnés par PIPE, FER OU bateau et redistribués par camions citernes via un réseau tiers (entreprises pétrolières et de la grande distribution. La société, dont le siège social est basé à Paris, est une joint venture détenue par trois actionnaires principaux (ESSO, SHELL, TOTAL).
Le Défi
L’entreprise emploie aujourd’hui aux alentours de 100 collaborateurs repartis entre le siège basé à Paris et 9 sites d’exploitation en région, tous classés sites à risques et soumis à la norme SEVEO. Le système d’information de la Raffinerie du Midi est l’outil principal permettant de gérer les flux d’hydrocarbures. Il permet de réguler et contrôler l’écoulement du pétrole raffiné en fonction des commandes.
Hors, jusqu’à peu, comme beaucoup d’entreprises industrielles, la société ne possédait pas de personnel dédié à la gestion de l’informatique sur les sites de production, ni de direction informatique ou et de système d‘information centralisé. Un informaticien assurait le support des utilisateurs sur ces différents sites. Le suivi des flux d’hydrocarbures n’était pas centralisé ni automatisé. Le personnel devait communiquer les rapports d’activité manuellement par fax ou mail à la direction quotidiennement. Ces opérations fastidieuses mobilisaient beaucoup de ressources humaines qui auraient pu être consacrées à des tâches à plus forte valeur ajoutée.
L’arrivée d’une nouvelle Direction en 2006 et de nouvelles lois ces dernières années en termes de sécurité informatique (Bâle II, Sorbanes Oxley etc.) demandant plus traçabilité et de visibilité sur tout ce qui ce passe dans la société, amène la Raffinerie du Midi à repenser entièrement son système informatique. L’entreprise veut profiter de l’occasion notamment pour renouveler son parc informatique vieillissant. L’un des objectifs premiers mis en avant par la Raffinerie du Midi concerne avant tout la consolidation et la sécurisation de toutes les données et applications, y compris celles gérées par l’AS/400 en place. La société n’est pas tant confrontée à un problème de volume de données (1 téraoctet en Avril 2008), mais surtout à des données qui changent très rapidement et qui doivent être sécurisées et disponibles à tout moment, avant d’être sauvegardées et archivées pour des questions légales.
De plus, l’entreprise veut un système qui lui garantisse une indépendance totale vis-à-vis des constructeurs en vue d’évolutions futures, pour pouvoir intégrer, en cas de besoin, du matériel standard de plus en plus performant à des prix toujours plus compétitifs.
Déroulement du projet
Après avoir réalisé une étude de marché, la Raffinerie du Midi lance un appel d’offre en 2006 et retient une solution proposée par l’intégrateur CFI, basée sur
- la consolidation et virtualisation des serveurs d’application grâce à la solution ESX de VMware,
- la mise en place d’un SAN redondant basé sur le logiciel de virtualisation et d’administration du stockage SANmelody de Datacore Software,
- la sauvegarde des données disque à disque et la restauration de données en ligne avec EVault Infostage.
Le déploiement des différentes solutions commence en décembre de la même année. S’agissant d’un projet de grande ampleur, la mise en place se fait par étapes successives pour arriver à son terme au troisième trimestre 2007. En tout, le projet aurait pris environ 60 jours/homme, y compris la mise en place des nouveaux serveurs et la migration des données.
Les solutions
Au siège parisien, trois serveurs hébergent désormais le logiciel ESX de VMware. Grâce à cette solution, la société a déjà créé 11 machines virtuelles (statut avril 2008) en remplacement de 6 anciens serveurs d’application physiques auparavant. En cas de besoin, dans le cadre de plateformes de test par exemple, l’entreprise peut créer de nouvelles machines virtuelles à la volée et en toute quiétude, sans risque de modifier le système d’exploitation et sans impacter la production. Quand l’un des trois serveurs ESX tombe en panne, les machines virtuelles qui y sont attachées sont automatiquement prises en charge par l’une des deux autres machines ESX via la fonction VMOTION VMHA.
Néanmoins, si toutes ces machines pointaient vers les mêmes volumes stockage et si jamais ce système de stockage tombait en panne, tous les serveurs d’applications physiques et virtuels VMware seraient indisponibles également.
Un SAN redondant, basé sur le logiciel de virtualisation du stockage SANmelody de DataCore, résout alors ce problème. Ce SAN se compose de deux serveurs de domaine de stockage (SDS), hébergés sur des serveurs standards, reliés par fibre optique aux machines VMware d’un côté, puis à deux baies de disques de l’autre côté. Il s’agit ici de baies de disques HP d’entrée de gamme parmi les moins chères du marché. C’est le logiciel Datacore qui leur apporte toute l’intelligence.
Via la fonction de réplication Datacore en mode synchrone en interne, toutes les écritures se font simultanément sur les deux serveurs de stockage, qui renvoient une confirmation aux serveurs d’applications ESX. Grâce à la fonctionnalité auto-failover (basculement automatique), si le premier serveur de stockage Datacore SANmelody tombe en panne, l’autre reprend automatique le relais. Datacore est l’un des rares acteurs du marché du stockage à offrir cette fonctionnalité, pour assurer ainsi la vraie haute disponibilité (bascule automatique et transparente) du SI à tout moment. Les solutions Datacore permettent en outre de rajouter des capacités de stockage, en fonction des besoins en temps réel, et quel qu’en soit le format ou le constructeur (baies de SAN, disques SATA, SAS etc. jusqu’aux disques PC).
Dans le cadre d’un plan de reprise, la fonctionnalité « snapshot » de Datacore permet de prendre des images de l’ensemble du système, qui sont d’abord sauvegardées sur la baie de stockage en interne, puis répliquées sur un deuxième SAN hébergé sur le site de secours, distant de 400 km. Celui-ci se compose également d’une baie de disque HP entrée de gamme, et d’un SDS Datacore SANmelody. La réplication se fait alors en mode asynchrone, via la fonctionnalité AIM (Asynchronous IP Mirroring) et le réseau Internet. Ceci permet des économies substantielles notamment en termes de connexions téléphoniques. Une simple ligne ADSL de 2 Mo (NeufCegetel) assure désormais la liaison, en remplacement d’une ligne France Télécom ITPVN (global Intranet) auparavant.
La Raffinerie du Midi dispose aussi d’un système de sauvegarde et d’archivage pour être en conformité avec la législation en vigueur. Jusqu’alors, les sauvegardes se faisaient sur chaque site régional avec un système de bandes LTO externes, qui demandait beaucoup de temps en termes d’interventions manuelles et de fenêtres de sauvegardes. Dans le cadre du nouveau système, la société opte alors pour la solution EVault Infostage, une solution de sauvegarde disque à disque et de restauration de données en ligne, fonctionnant en mode delta bloc. Après une première sauvegarde complète de toutes les donnés, qui dans le cas de la Raffinerie du Midi a duré environ 12 heures pour 1 To de données, cette solution permet de reprendre ensuite uniquement les blocs modifiés d’une sauvegarde à l’autre. L’application tourne aujourd’hui grâce à une troisième baie de disque HP dédiée au siège. Grâce à la compression des données, EVault Infostage réduit de façon drastique les fenêtres de sauvegarde ainsi que les besoins en termes d’espace disque et de bande passante. La technologie de chiffrement avancée d’EVault Infostage garantit alors le transfert des sauvegardes en toute sécurité et à moindre coût via Internet vers le site de recours chez l’hébergeur également. La société effectue aujourd’hui une sauvegarde journalière qui prend 6 heures environ. En cas de besoin, cela laisse toujours la possibilité de faire une sauvegarde sur bande dans la journée. Néanmoins, une fois chiffrées et sauvegardées via EVault Infostage sur le site de PRA, les données ne sont plus modifiables et répondent donc parfaitement déjà aux obligations légales. Outre la sauvegarde, EVault Infostage représente d’énormes avantages aussi en termes de tracabilité et de restauration rapide d’un fichier perdu ou supprimé par mégarde. « Ceci arrive beaucoup plus souvent que l’on ne le croit », constate M. Nunez Alvarez.
L’environnement informatique actuel
Pour la refonte de son SI, la Raffinerie a acheté :
- trois licences du logiciel de virtualisation de stockage Datacore SANmelody,
- trois licences du logiciel de virtualisation de serveurs ESX de VMware,
- une licence EVault Infostage pour un volume stocké après compression de 500Go,
- 4 baies de disques HP d’entrée de gamme (dont trois au siège et une sur le site de secours).
En remplacement de six anciens serveurs d’application, elle dispose aujourd’hui de
6 nouveaux serveurs x86 standard sous Windows (HP DL 380G4) pour héberger :
- 3 serveurs de domaine de stockage Datacore SANmelody (dont un sur le site de recours) ;
- 14 serveurs, dont 3 physiques sous ESX VMware et 11 machines virtuelles d’applications pour l’Active Directory et la bureautique : serveur de messagerie (Lotus Notes 7), serveur de fichiers, serveur d’impressions et diverses applications métiers, telles que la gestion des salaires, la cartographie sous Windows, etc.
- un serveur de sauvegarde EVault Infostage lié à un lecteur de bandes LTO existant et à une baie de sauvegarde disque HP au siège, répliquée sur une deuxième baie de disque HP sur le site de recours à distance ;
La Raffinerie du Midi a gardé également un AS/400 (iSeries) qui, pour une question de performances, continue à gérer la base de données DB2. Dans le cadre de son contrat avec IBM, la Raffinerie du Midi bénéficie déjà d’un plan de reprise avec mise à disposition d’une salle en cas de désastre. A terme de ce contrat il sera possible de faire prendre en compte les sauvegardes iSeries faites par EVault Infostage, puisque cette solution a déjà été adoptée par IBM BCRS dans son offre de secours.
Grâce à la virtualisation et à la consolidation, la Raffinerie du Midi dispose aujourd’hui d’un système complètement centralisé et redondant. Le SI est désormais administré depuis le siège et peut être consulté à distance via une interface web. Au total la société dispose de 60 postes de travail, 30 PC et ordinateurs portables au siège ainsi que 30 clients légers sur les sites de production en région.
Témoignage de M. José Nunez Alvarez, RSI délégué de la Raffinerie du Midi
1-Comment avez-vous connu ces solutions?
Côté serveurs virtuels, VMware est aujourd’hui le leader incontesté. Nous connaissions bien déjà Datacore aussi, notamment la solution phare de l’éditeur, SANsymphony. Quant à EVault Infostage, dans le cadre du projet global, un test d’évaluation de cette solution innovante sur notre infrastructure nous avait été proposé par CFI.
2-Combien de solutions différentes avez-vous évalué ?
Nous sommes directement partis sur VMware et sur DataCore. Nous avions écarté d’emblée des offres de SAN classiques telles que EMC, IBM ou HP. Des expériences antérieures nous ont prouvé que ce type de matériel est trop propriétaire et très coûteux à l’achat et quand on veut ajouter des fonctionnalités avancées (généralement toutes proposées en option et très onéreuses). Quant au système de sauvegarde, nous ne connaissions pas le système de télé sauvegarde.
3-Pourquoi avez-vous opté pour ces solutions plus tôt que pour d’autres?
Nous avons commencé par la virtualisation des serveurs d’applications avec VMware, peu avant leur rachat par EMC. Il y a certainement d’autres fournisseurs, mais leurs solutions ne nous semblaient pas assez mûres et elles n’étaient pas très présentes dans le secteur industriel. VMware propose des solutions beaucoup plus abouties en termes de fonctionnalités et demande le moins de connaissances pré-requises parmi les différentes solutions du marché.
Séduits par la facilité d’installation et de changement offerte par la virtualisation, nous avons voulu pousser cette approche de bout en bout, y compris pour le stockage. Le choix de la solution de Datacore était aussi une façon de consolider et sécuriser facilement toutes nos données et de mettre en œuvre un système haute disponibilité, avec un premier niveau de PRA. Plutôt que de partir sur la solution SANsymphony, surdimensionnée par rapport à nos besoins, nous avons opté pour la solution SANmelody de Datacore, nous permettant d’accéder à la même technologie tout en maîtrisant les coûts.
Quant à EVault Infostage, le test sur notre infrastructure nous a immédiatement convaincu de la facilité, la rapidité et la fiabilité de cette solution de sauvegarde automatisée, par rapport à une solution de sauvegarde traditionnelle sur bandes. Un autre facteur décisif résidait dans le fait qu’EVault Infostage est aujourd’hui l’une des rares solutions à pourvoir prendre en charge toutes les plateformes majeures du marché, y compris iSeries-AS/400.
D’autre part, les solutions VMware, Datacore et EVault se supportent mutuellement et nous assurent le support dont nous avons besoin.
4-Quel volume de données gérez vous? Quelle est la capacité actuelle de l’installation?
Nous gérons actuellement 1 To de données et disposant d’un téraoctet sur chacune des baies de disque, ce qui nous donne une liberté pour les cinq ans à venir au moins.
5-Quels sont, selon vous, les bénéfices apportés par les différentes solutions? Quels sont ceux que vous mettriez particulièrement en avant?
La virtualisation VMware nous a permis de mettre en place un nombre de serveurs minimal, pour alléger les coûts. Les disques VMware servent uniquement pour le boot des machines virtuelles.
L’installation de la solution Datacore n’a pas réduit nos volumes, mais Datacore a une façon très intéressante de gérer les capacités de stockage. En effet, grâce à la fonctionnalité auto-provisionning, la solution présente à chaque serveur beaucoup plus de capacité que réellement disponible et envoie une alerte à l’administrateur seulement quand l’espace physique centralisé dans le pool de stockage arrive réellement à sa fin. Entre temps, nous pouvons retailler nos serveurs et changer de volumes virtuels à la volée sans arrêter le système.
Par rapport à une baie de stockage physique, un SAN virtuel est beaucoup plus avantageux en termes de coût à l’achat déjà. Aussi, si l’on veut ajouter une option (un PRA ou la synchronisation par exemple) en cours de route, c’est possible et très souple dans le cadre d’un SAN virtuel. De plus, le système Datacore ne requiert pas de connaissance particulière, étant donné qu’il fonctionne avec une interface Windows, connue et très intuitive. L’administration d’un SAN virtuel est donc complètement différente d’un « vrai » SAN physique, qui demande des connaissances de spécialistes.
La solution de sauvegarde disque à disque et de restauration des données en ligne nous a avant tout permis de gérer nos sauvegardes à distance. De plus, EVault Infostage fonctionnant avec des agents standards et quelques agents spécifiques pour les bases de données, messageries, voire VMWare est excellente et marche très bien. C’est une solution très professionnelle, qui permet en outre de retrouver et de restaurer n’importe quel fichier très rapidement. Dans notre cas par exemple, avec 1 To de données, cela nous prend que 2-3 minutes pour retrouver l’information sur notre baie de sauvegarde de production.
6-Combien vous a coûté l’installation globale et à combien estimez-vous la valeur du retour sur investissement ou les économies réalisées grâce à votre nouveau système?
Tout le projet nous a coûté environ 310 000 à 330 000 €, y compris l’achat des licences, des 6 nouveaux serveurs et quatre baies de disque HP, ainsi que les maintenances des différentes solutions pour la première année. La ROI est difficile à estimer, notre budget informatique est resté assez constant, mais grâce à cette nouvelle architecture, nous faisons désormais des économies substantielles notamment au niveau des coûts de connexions téléphoniques.
7-Observations diverses :
Des projets de cette ampleur demandent beaucoup de rigueur et de réflexion en amont, si l’on veut arriver à une architecture parfaitement redondante. Et bien sûr, un tel projet ne se déroule jamais sans soucis…
Ainsi, à un moment donné pendant la phase de déploiement, nous avons dû faire face à une dégradation des performances de notre SAN tombées à 25% ! Après une analyse approfondie, il s’avérait que le souci ne venait pas de la solution Datacore, mais d’un problème du matériel HP. Ce problème a été corrigé néanmoins courant 2007.
Au niveau des sauvegardes, quelques bémols également : la solution EVault Infostage fonctionne très, mais l’éditeur pourrait faire quelques progrès encore au niveau ergonomique. Elle est aussi un peu gourmande en ressources disques, c’est pourquoi il faut bien choisir le créneau de sauvegarde dans la journée.
Quant à la virtualisation des applications, il a fallu un temps à l’équipe interne pour l’apprentissage, notamment pour la fonctionnalité VMotion et des machines qui se déplacent « toutes seules ». Cependant, aujourd’hui toutes les fonctions sous VMware marchent très bien, y compris VMotion, qui nous a permis de bien repartir la charge de nos serveurs. Nous pensons toutefois avoir sous-dimensionné un peu les serveurs au début. Si c’était à refaire, nous partirions sur des disques SATA nouvelle génération.
Un problème majeur qui n’arrive « jamais », nous est quand même arrivé juste après la mise en production du nouveau système : une coupure électrique qui a engendré la désynchronisation des SDS. Comble de l’ironie, une deuxième coupure d’électricité a eu lieu juste pendant la restauration du système à partir des baies de stockage au siège. Et de surcroît, tout cela s’est passé pendant un week-end ! Mais les équipes de Datacore se sont montrées très réactives et sont intervenues immédiatement, ce qui nous a évité de déclencher un véritable plan de secours, prévu selon les termes de notre contrat et pour des raisons de coûts, au delà de 48 heures.
8-Résultats
En sommes, nous sommes très contents de notre nouveau système qui nous a permis d’atteindre nos objectifs, consistant à:
• consolider et sécuriser toutes les applications et données informatiques,
• dissocier complètement les couches matérielles et logicielles, pour appréhender des montées en charge futures, tout en garantissant une indépendance complète vis-à-vis des constructeurs de matériel,
• optimiser les espaces de stockage à l’avenir pour faire face aux volumes en forte croissance notamment liées aux données de notre système de DAO (Dessin et Conception Assistées par Ordinateur) et de cartographie (SIG) – nous utilisons en effet de plus en plus de vidéos et de photos des sites de productions et de nos nouvelles installations liées aux produits émergeants, (biocarburants/éthanol etc.),
• réduire le nombre de machines physiques, d’une part pour des raisons d’espace réduit dans les salles blanches, et d’autre part pour limiter les coûts associés tels que la maintenance, l’administration, la consommation énergétique etc.,
• créer des plateformes de tests à la volée et en toute sécurité, sans risque de modifier les données d’exploitation,
• automatiser et rationaliser les sauvegardes,
• faciliter les restaurations de données,
• disposer d’un plan de reprise en cas d’incident
• et in fine, augmenter la productivité et les performances globales de notre entreprise
9-Projets à venir
En termes de projets à venir, un ERP est à l’étude. Nous souhaiterions aussi virtualisaliser les postes de travail/ clients légers sur nos sites, pour ne garder à terme que des écrans et claviers sur place. Néanmoins les solutions testées jusqu’à présents restent très chères, elles coûtent en fait le double d’un poste de travail physique. Aussi, de part notre métier, nous avons besoin d’une solution avec plusieurs ports RS232 OU RS485, comme les applications industrielles sont souvent écrites en code machine et non pas en code source. A notre connaissance, aucun fournisseur de virtualisation ne propose ces services.