• 6,2 MILLIARDS D'EUROS INVESTIS EN COMMERCE EN 2014, LE DOUBLE DU VOLUME DE 2013
• ANNEE DES MEGA DEALS : 5 TRANSACTIONS DE PLUS DE 400 MILLIONS D'EUROS
• PLEBISCITE DU CENTRE COMMERCIAL, PRODUIT PHARE DE L'ANNEE (75% DU MONTANT INVESTI)
• LES GRANDES FONCIERES A LA MANŒUVRE A L'ACQUISITION COMME A LA CESSION
• FRANÇAIS ET ETRANGERS AU COUDE A COUDE POUR LES MEILLEURES OPPORTUNITES DU MARCHE
Année de tous les records, les investissements en immobilier d'entreprise (bureaux commerces, entrepôts, activités) ont culminé à 22,7 milliards d'euros toutes classes d'actifs confondus. C'est cependant sur le front de l'investissement en immobilier commercial que le dynamisme du marché a été le plus intense. Les commerces ont atteint plus de 6,2 milliards d'euros, soit plus du double du volume 2013 : du jamais vu. La part des commerces culmine à 27% des montants investis en immobilier d'entreprise, un niveau record.
Tout au long de l'année, des méga deals habituellement rencontrés une ou deux fois par exercice se sont succédés, faisant fi des indicateurs économiques et de celui de la consommation, dans le rouge ou presque.
« Les montants unitaires investis parlent d'eux même : les transactions de plus de 400 millions d'euros, absentes en 2013, ont capté 70% des engagements en seulement 5 transactions » commente Nils Vinck, Directeur Capital Markets France chez DTZ.
Plusieurs singularités se sont dégagées de ces investissements, d'abord l'extrême spécialisation des engagements, portés à près de 75% sur un actif spécifique : le centre commercial et ses galeries marchandes, dans le cadre d'arbitrages de portefeuilles d'envergure. Ensuite, la sélectivité accrue des investissements ciblés, portés en priorité sur des actifs de très grande qualité dans la capitale.
Les acteurs français ont été au centre du marché de l'investissement cette année doublant leurs acquisitions mais triplant aussi leurs cessions. A contrario plusieurs investisseurs européens ont jeté leur dévolu sur le marché français, Pays-Bas et Norvège en tête, suivis des Etats-Unis, ces derniers misant sur peu d'actifs mais de grande qualité
« Au-delà du record et des volumes, il s'est agi d'une année charnière ouvrant la porte aux repositionnements stratégiques de demain sur le segment du centre commercial. Un fonctionnement plus normalisé du marché devrait animer une année 2015 qui verra émerger les effets de ces grandes manœuvres opérées en 2014 » conclut Magali Marton, Directrice des Etudes pour la zone EMEA de DTZ.
NB : Etude disponible sur demande
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Bérénice Denis-Bouchet
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