La recherche d'immobilier d'entreprise est plus ou moins ardue selon que l'on sache anticiper les choses ou pas. Quelle que soit la conjoncture, il existe certaines constantes qu'il ne faut pas négliger :
A- La conjoncture immobilière
1- Il n'est jamais simple de trouver son local d'activité.
Contrairement à ce qui se passe dans l'immobilier résidentiel, la recherche de local pour son entreprise tient avant tout compte du facteur « spécificité ». Dans un immeuble qui accueille indifféremment tous les secteurs d'activité, on risque alors de ne pas trouver le local adapté. En aucun cas la découverte du bon local ne dépend de l'offre sur le marché. A la limite, il s'agit d'un facteur second dans la démarche.
2- Le pouvoir de négociation est aléatoire
L'immobilier d'entreprise ne se négocie pas non plus au mètre carré, mais en fonction des besoins de l'entreprise. Ces facteurs seront donc plus ou moins décisifs selon qu'on se place du côté du vendeur ou de l'acheteur. Un acheteur ne peut qu'acheter le local qui correspond à son activité et un vendeur ne peut pas toujours offrir cette spécificité.
B- L'assurance de la reprise
3- Tout n'est pas morose dans la conjoncture de l'immobilier d'entreprise.
Il est faux de croire que la crise entraîne un nombre croissant de bâtiments libres à louer parce que les entreprises en faillite ne manquent pas. C'est la situation économique de la localité où l'on effectue ses recherches qui déterminera l'état de l'immobilier et non pas la vision nationale globale qui ne tient compte que des généralités.
4- De nouvelles perspectives
Malgré une année 2013 peu concluante, ALTEAGROUP reste convaincu, pour ce qui est de la région parisienne, que les investissements dans l'immobilier d'entrepris sont loin de tirer leur révérence. Pour ne citer que le fait que le secteur du luxe a progressé de 10% au premier semestre de l'année. Par ailleurs, le pouvoir de consommation des ménages, garant du rendement des commerces ne s'est pas effondré. On peut aisément anticiper un chômage en courbe descendante et une reprise de la croissance. Il n'y a donc aucune raison de penser que l'immobilier d'entreprise est voué à connaître la déchéance.