Depuis le lancement du site Volterys.org il y a 2 mois en France et en Belgique, plus de 3.000 personnes se sont inscrites dans sa banque de volontaires pour la recherche en médecine. De tout âge et de tout horizon, sains ou malades, ils ont connu l’initiative via les moteurs de recherche et les médias. Leurs motivations sont diverses: pour tous, la participation aux progrès de la médecine; pour les volontaires malades, l’espoir de bénéficier d’un traitement avant sa mise sur le marché; pour certains, l’attrait de la compensation financière octroyée par la plupart des chercheurs.
Les volontaires ont remplit un formulaire à caractère général et médical, qui permet aux chercheurs de faire une première sélection avant la séance de recrutement dans une étude. Chacun d’eux a également marqué ses préférences pour un type ou l’autre d’expériences, par exemple les tests de médecine Hi-Tech (imagerie par résonance magnétique, électroencéphalogramme, …) et les essais pharmaceutiques de phase 1. Le système de filtrage des contacts avec les chercheurs permet aux volontaires de garder l’anonymat jusqu’à ce qu’ils acceptent de participer à une expérience.
Fort du succès des inscriptions, Volterys est aujourd’hui ouvert aux chercheurs des laboratoires universitaires, des centres de recherche, de l’industrie pharmaceutique, cosmétique et médicale. Ils peuvent y poster des offres d’études ou interroger la base de données. Grâce à Volterys, les chercheurs peuvent se décharger des lourds processus administratifs de recherche de volontaires, faciliter leur sélection grâce aux informations fournies par la base de données, augmenter la taille des groupes, et donc finalement augmenter la qualité et la rapidité de leurs études cliniques. Tout ça à un prix minime: nul pour les chercheurs qui combattent les maladies rares, quelques euros par volontaire recruté pour les autres, en fonction du budget de leurs recherches.
Dans les prochains mois, Volterys continuera à agrandir sa base de volontaires, à perfectionner ses services et à les étendre à d’autres pays européens.
Contact presse :
Dr. Laurent Hermoye
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