Editions Edilivre-Aparis
octobre 2010
COMMUNIQUE DE PRESSE
Quatre nouvelles publications pour Christian Soleil
Christian Soleil publie en ce mois d'octobre 2010 quatre nouveaux ouvrages aux éditions Edilivre-Aparis :
- Fulham Palace Road
- Manhattan Blues
- Fils de Cocteau
- Kyoto Tower
Fulham Palace Road, récit, est une promenade sentimentale dans les rues de Londres : une visite intime de la capitale britannique dans laquelle l'auteur a beaucoup résidé depuis le début des années 1980. Construit à la manière d'un palimpseste, ce texte comprend de nombreuses interviews et des rencontres d'artistes et de personnalités de la scène londonienne, de la famille de Virginia Woolf et membres du groupe de Bloomsbury jusqu'à des auteurs, peintres et musiciens contemporains en passant par David Bowie, Lady Di et des stars des années 80 à 2010, de brèves nouvelles aussi écrites autour de Londres et de ses quartiers : Paddington, Chelsea, Fulham, Islington, Kensington. Un voyage dans le temps et l'espace au cœur du labyrinthe londonien.
"Difficile de savoir comment tout a commencé. Dans cette vie ? Dans une autre ? J'ai beau fouillé ma mémoire, je dois admettre que j'ignore à quelle époque a résonné en moi la première note londonienne, dans quelles circonstances le premier paysage de la capitale anglaise est apparu à ma conscience. C'était, en tout cas, bien avant ma première visite sur place. Dans une zone du cerveau dont je ne saurais dire si elle produit de la mémoire de l'avenir ou de l'imagination..."
Fulham Palace Road, récit, éd. Edilivre, 472 pages, 24 euros.
Manhattan Blues est le roman d'un dévoilement progressif de soi, un ouvrage de suspense sentimental qui maintient le lecteur en haleine jusqu'à la fin terrible qui se dessinait depuis le début en filigrane. Un livre d'amour pour une femme, pour une ville, pour ses habitants.
Le narrateur arrive à New York et il sillonne les rues de Manhattan. Que cherche-t-il au fond ? Sur quoi enquête-t-il ? Qu'est-ce qui le pousse à avancer ? Peu à peu, des images de son passé remontent à la surface. Il a été amoureux à Manhattan il y a de nombreuses années. Mais de qui ? Pourquoi cet amour a-t-il disparu ? Où est-il ? Que s'est-il réellement passé ? La vérité est en lui mais va-t-il être assez fort pour la voir en face ?
Manhattan Blues est le roman d'un dévoilement progressif de soi, un ouvrage de suspense sentimental qui maintient le lecteur en haleine jusqu'à la fin terrible qui se dessinait depuis le début en filigrane. Un livre d'amour pour une femme, pour une ville, pour ses habitants.
Manhattan Blues, roman, éd. Edilivre, 108 pages, 13,50 euros.
Fils de Cocteau, essai biographique. De ses amants, Cocteau veut faire des fils, tentant par là même de reproduire en l'inversant la relation perdue. Mais les choses sont aussi plus compliquées : ses fils sont souvent ses pères, ils l'inspirent et l'influencent (Raymond Radiguet), ils le protègent au besoin de leur puissance physique (Jean Marais, Edouard Dermit) et figurent son lien avec le monde terrestre, lui qui a déjà un pied dans l'au-delà et « vit bien mal sur cette planète » comme il le dit un jour de Klaus Mann. Il cherche en outre à en faire ses « pairs » en les élevant au rang d'artistes de premier plan, sans forcément toujours de discernement : la question n'est pas là. Du génial Radiguet dont il s'approprie la force créatrice à l'évanescent – mais héroïque – Jean Desbordes, en passant par Jean Marais vaniteux et éclatant ou le discret Edouard Dermit qui dédiera sa vie à la diffusion de son oeuvre, Jean Cocteau s'efforcera de faire des poètes, des écrivains, des acteurs ; les héros de son Panthéon intime.
Un essai éclairant sur les relations entre la vie et l'oeuvre du poète, un ouvrage indispensable aux lecteurs de Cocteau.
Fils de Cocteau, essai biographique, éd. Edilivre, 96 pages, 12,50 euros.
Kyoto Tower, roman. Le narrateur arrive à Tokyo pour y accomplir un rite mystérieux que lui seul connaît. Mais c'est sans compter sur les rencontres qu'il fait dans cette ville de tous les possibles. Ses plans sont détournés et il est entraîné dans un voyage initiatique dont lui même ne connaît pas l'issue.
Un drôle de roman, ésotérique, érudit, déroutant, construit comme un portrait en filigrane de la vie et de la culture tokyoïtes. Un travail d'esthète voyageur.
Kyoto Tower, roman, éd. Edilivre, 72 pages, 12,50 euros.
Contact presse :
C.SOLEIL 04 77 37 63 08