Conference
Mercredi 6 décembre 18h30
Jacques SIGOT
-Revue Etudes Tsiganes-
à la Maison des Passages
44 rue Saint Georges
Pendant des décennies, les Tsiganes ont caché leur drame. Parce qu’ils avaient honte d’avoir été parqués derrière des barbelés. Parce qu’eux mêmes, étant un peuple de l’oralité, ne l’ont jamais écrit…
Des premières mesures de contrôle prises par la IIIème République finissante, à l’internement sur ordre allemand, jusqu’à mai 1946 où les derniers Tsiganes sortent de vichy, « la Francette » comme disait René Char, a réservé aux Tsiganes dont certains seront déportés dans les camps d’extermination nazis.
Contact presse :
Bruno Guichard