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Communiqué de presse : culture

Cheo Feliciano en concert à Paris

Y Salsa & Mandala Prod

Communiqué le 17/12/2008
Nous pourrions aligner une foule de superlatifs, d’adjectifs élogieux les uns à la suite des autres, les « shaker » et vous auriez une vague idée du plaisir que vous prendrez à venir écouter ce « Sonero Mayor ».


A l’instar d’une Célia Cruz ou d’un Tito Puente, Cheo fait partie de ces icônes de la salsa. 20 albums solos, 12 collaborations et 38 participations (Joe Cuba Sextette, Fania…), il est l’un des rares aujourd’hui encore à faire partager au public cette culture qui « est née ici à New York comme résultat de ce qui transpirait ici » (Cheo Feliciano).

Cheo Feliciano est né à Ponce, Puerto Rico il y a plus 70 ans, à 17 ans, il découvre New York, il y restera et y débutera sa carrière, comme percussionniste d’abord, puis, parrainé par Tito Rodriguez, comme soliste dans le Joe Cuba Sextette avec lequel il restera dix ans (1957-1967). Déjà, certains titres marqueront à jamais l’histoire de la salsa, El raton ou encore Cachondeo…

Mais, la rencontre qui marquera un tournant dans sa carrière est celle avec Tite Curet Alonso qui lui écrit un album solo, Cheo, paru en 1971 : Anacaona restera le morceau emblématique de cette époque. L’année suivante, il enregistre son premier album exclusivement « boléro », Voz Sensual, grâce auquel public le consacrera le nouveau roi du Boléro. Il signera trois autres albums sous le label Fania qui lui vaudront une large médiatisation.
S’ensuivent des collaborations toutes les unes plus légendaires que les autres ; puis il s’éloigne un peu du star system de l’époque  en retournant vivre à Puerto Rico et produit ses propres albums, quelques perles rares sont issues de cette époque : Trizas, Amada Mia ou encore Isabel de la Noche… Il ne renonce pas pour autant aux invitations d’Eddy Palmieri ou de la Fania mais poursuit sa carrière solo en enregistrant cinq albums avec la maison de production qu’il a créée.

Il fête ses vingt-cinq ans de carrière artistique avec un concert à San Juan de Puerto Rico dont sera tiré l’album : 25 años de sentimiento. Il s’essaie à différentes « conjugaisons » en recréant un sextet à la manière de Joe Cuba, joue dans une pièce de théâtre et présente aux côtés de Willie Colon, Ruben Blades… un spectacle qui lui est dédié…

Les années 90’ marquent un nouveau tournant dans la carrière de Cheo, il signe chez Ralph Mercado, il s’essaiera, sans grande envie ni grand succès d’ailleurs, à la salsa romantique avant de revenir à ses choix musicaux de prédilection avec l’album Motivos, cha cha cha, boléros, salsa… Il enchaînera les collaborations avec la Fania et autres artistes et enregistrera trois autres albums solos sous le label RMM.
Les années quatre-vingt dix se terminent et Puerto Rico organise un concert en son honneur avec en guest stars, El Gran Combo ou encore Ruben Blades. Le projet Una Voz, Mil recuerdos voit enfin le jour, projet sur lequel Cheo rend hommage à tous ceux qui l’ont inspiré ou qu’il a admirés.

Ces dernières années, Cheo sort un album de boleros, poursuit ses collaborations et est invité par différents musiciens à chanter sur leurs albums. En 2006, Tempo Latino le programme et aux dires de ceux qui y ont assisté, ce fut un beau moment d’humilité et d’élégance (dixit jsalsero)… En novembre de cette année, il reçoit le Lifetime Achievement Award décerné par la Latin Recording Academy couronnant ses 50 ans de carrière.

Alors même qu’il a bâti sa gloire à l’époque où la Fania « assommait » le public de cette drôle de sauce qui se joue des rythmes et des cadences puisque Jerry Masucci les a judicieusement compilées dans le sigle : Salsa !! Cheo restera attaché à certains sons traditionnels tels que le boléro, le danzón ou la plena et c’est certainement l’une des particularités qui lui valent autant de surnoms poétiques et qui le dressent au rang d’icône.
Il est l’un de ceux qui ont amorcé et surtout réussi l’unification musicale, si chère à toute l’Amérique latine, en rendant hommage au patrimoine traditionnel tout en sachant composer avec des sons plus modernes  …

A découvrir si ce n’est pas déjà fait !!
Sources : biographie très complète mise en ligne par Carlomambo pour le site buscasalsa.



Cheo Feliciano sera accompagné, pour l’occasion, par la Orquesta del Solar, orchestre basé en Espagne et qui à l’instar de Mercadonegro pour la France ou la Suisse, accompagne tous les grands noms de la salsa en Espagne.


Le concert sera précédé et suivi d’une soirée aux tonalités « salsa », DJ Juan Pablo « El cuco de la salsa », résidant au Saint Discothèque et DJ Jeff résidant du Cuba Café abandonneront leurs platines habituelles au profit des « aficionados » de Cheo.







Informations pratiques
Ouverture des portes : 21h00
Concert : 00h00 en un seul set.
Fermeture : 05h00

Back Up : 18 rue de la Croix-Nivert - Paris XV
accès : métro Cambronne – ligne 6

Locations
Points de vente habituels, Fnac, Carrefour…
Mercatienda Latina – 78 rue Dunkerque – 75015
Restaurante Salsarumba - 10, Rue Boutebrie - 75005

Prix des préventes : 38 euros (hors commission Fnac) - Prix sur place : 45 euros.

Contact presse :
Infos : Tel : 0618632373
Contacts Presse : lamboglialaura@yahoo.fr - 0683278446

En savoir plus : http://www.y-salsa.com


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