Pour reprendre une entreprise, le candidat doit s’informer pour déterminer son profil, rechercher les offres disponibles pour pouvoir ensuite monter un ou plusieurs dossier(s). Le but de l’opération : convaincre le cédant ainsi que les partenaires financiers du bien fondé du projet de reprise. Astuces pour le repreneur en ligne sur www.reprise-entreprise.fr.


Projet de reprise : où s’informer ?
Plusieurs possibilités s’offrent au repreneur en quête de renseignements pour son projet. Les chambres de commerce et d’industrie ainsi que les associations Cédants et Repreneurs d’affaires semblent être les organismes les plus consultés par les candidats à la reprise. Reste que s’informer par le biais de la presse spécialisée (ex : Repreneur) ou sur Internet (ex :www.reprise-entreprise.fr) permet au candidat une vision plus large du marché de la reprise. Enfin, des événements tels que le Salon des Entrepreneurs, la Caravane des Entrepreneurs, les forum reprise-création peuvent également être une occasion de faire de bonnes rencontres…

Rechercher les offres de reprise en adéquation avec son profil
Pour cette étape, même principe, le repreneur peut opter pour la presse spécialisée et les journaux d’annonces légales. Cependant, Internet reste la source d’informations la plus économique et la plus conséquente en matière d’offres de reprise d’entreprise. Quelques clics suffisent pour voir apparaître de nombreuses offres ciblées en fonction d’un secteur d’activité donné et/ou d’un secteur géographique. Reste à lire dans le détail le contenu des offres, faire sa sélection en fonction de son profil de repreneur et contacter les cédants des établissements concernés.

Les derniers conseils
Pour confronter les différentes entreprises et évaluer au plus juste leur montant, il convient de faire appel à un expert comptable. Celui-ci sera le plus à même de donner un prix en toute objectivité à une affaire. Le cédant, lui, attribuera plus une valeur sentimentale à son entreprise, souvent plus élevée que la somme que concédera le repreneur. L’expert comptable reste donc l’homme de la situation et jouera le rôle d’intermédiaire entre les deux parties.