La chasse aux déficits du gouvernement s'est traduite par l'annonce le 24 août d'un panel de mesures d'économie. Le premier ministre a notamment annoncé une hausse de 1,2% des prélèvements sociaux sur les revenus du patrimoine et de l'épargne.
En première impression, l'assurance-vie a été relativement épargnée par le plan d'austérité gouvernemental. Il était question de taxer les contrats d'assurance-vie chaque année sur leurs gains, il n'en sera rien : seuls les retraits resteront donc sujets à fiscalité.
En revanche, le niveau de cette fiscalité augmente notablement. Les prélèvements sociaux passent de 12,3 à 13,5% (CSG, CRDS, prélèvement social, contribution additionnelle de solidarité et prélèvement additionnel).
Les professionnels craignent que ce nouvel alourdissement fiscal ne nuise encore au secteur de l'assurance-vie. Non seulement une fiscalité plus sévère risque de dissuader les éventuels investisseurs, mais les fréquents changements de réglementation ne sont pas faits pour rassurer des épargnants en quête de stabilité.
Le contrat d'assurance-vie de Spirica reste toutefois un placement aussi sûr qu'intéressant, grâce à des frais de gestion et d'entrée faible et un très bon rendement depuis 3 ans.
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Redaction CyberPret