Les agence 3d et studio 3d dans le cinéma et le jeu vidéo utilisent des techniques identiques pour obtenir les images de synthèse, cependant une différence significative les sépare. En effet, dans le jeu vidéo, le calcul d'image est progressif ce qui introduit une contrainte de temps réel inexistant au cinéma dans lequel les images 3D sont pré-calculées. Un compromis entre les deux permet d'obtenir une technique hybride qui bénéficie de la rapidité de calcul de l'un et de la qualité d'image de l'autre.
3D temps réel
Cette technique trouve son utilisation dans les jeux vidéo et bien d'autres domaines. Une animation harmonieuse et une meilleure qualité d'image possible constituent le défit de cette technique. Avant l'avènement des processeurs dédiés dans la 3D, le processeur central effectuait tous les calculs. Ensuite il fallait standardiser des interfaces permettant aux développeurs d'accéder aisément aux fonctions accélérées et aux constructeurs de les déployer dans les processeurs. OpenGL et Direct3D dominent ce secteur.
3D pré-calculée
Ce savoir-faire ne permet aucune interactivité, plusieurs studio 3d et agence 3d à caractère cinématographique utilisent ce procédé. Une très grande qualité d'image et un réalisme proche d'une photographie définissent l'avantage de cette technique, c'est ainsi qu'elle voit son utilité dans la réalisation d'images, d'effets spéciaux et dans de nombreux films d'animation.
3D Hybride
Elle vise à optimiser le réalisme de la 3D temps réel en pré-calculant quelques paramètres qui sollicitent beaucoup de temps de calcul tout en conservant la qualité essentielle au réalisme de l'image. Très souvent il s'agit de pré-calculer l'éclairage dont le temps de calcul est assez long, il en résulte une disponibilité immédiate de l'information d'éclairage. La qualité obtenue approche celle de la 3D pré-calculée avec un dynamisme conforme aux exigences de la 3D temps réel.