Les e-boutiques ainsi que les services de paiement et de banque en ligne ont largement facilité les transactions financières. Il est maintenant possible de payer ses factures, acheter des objets rares ou faire des transactions en quelques clics, sans perdre de temps et à n'importe quelle heure.
Selon l'étude Kaspersky Consumer Security Risks réalisée par B2B International et Kaspersky Lab au cours de l'été 2013, près d'un tiers des utilisateurs considèrent que la sécurité de leur smartphone ou leur tablette n'est pas suffisante pour faire des achats ou consulter des services bancaires en ligne.
vigilants ou insouciants : divergence d'opinion des utilisateurs d'Android
33% des sondés révèlent à B2B international qu'ils n'utiliseraient jamais leurs appareils mobiles pour effectuer une transaction financière. Une portion plus petite, mais malgré tout considérable, d'utilisateurs de smartphones et de tablettes (28%) ne sont pas rassurés à l'idée d'effectuer une transaction financière. Ils ne sont que 22% (tablettes) et 27% (smartphones) à ne pas se sentir inquiets à l'idée de rentrer des informatiques financières sur leurs appareils.
Les résultats de cette étude ne sont pas surprenants : 84% des possesseurs de smartphones (iPhone non inclus) et 74% des possesseurs de tablettes (iPad non inclus) utilisent des appareils Android. Il s'agit du système le plus populaire, et donc le plus touché par les cybercriminels dont l'objectif est de faire le plus de victimes possible. Selon Kaspersky Lab, 99% de tous les échantillons de malwares mobiles existants sont développés sur Android. En 2012, les experts Kaspersky Lab ont découvert 35 000 échantillons de malwares pour Android. Au cours du 1er semestre 2013, ce nombre est monté à 47 000.
Ce constat a persuadé un grand nombre d'utilisateurs de ne plus utiliser ces appareils. Ils sont 13% à indiquer ne pas souhaiter utiliser Android en raison des problèmes de sécurité.
Banque & shopping
Afin de répondre à ces problématiques, Kaspersky Lab a développé Kaspersky Internet Security pour Android, une solution facile à utiliser qui offre un nombre de mécanismes de protection varié contre les menaces mobiles.
Les technologies avancées de détection des malwares de Kaspersky Lab préviennent l'installation de logiciels espions qui imitent les applications bancaires, même lorsque le programme est téléchargé depuis le Google Play Store. Le module anti-phishing intégré détecte et bloque les fausses pages de boutiques ou de banques en ligne souvent utilisées pour récupérer les informations bancaires. Kaspersky Internet Security pour Android peut également vérifier les liens hypertextes reçus par SMS.
Kaspersky Internet Security pour Android est disponible sur le site internet de Kaspersky Lab ou sur le Google Play store. La solution est également intégrée à Kaspersky Internet Security – Multi-Device, le tout dernier né de la gamme Kaspersky Lab.
À propos de Kaspersky Lab
Kaspersky Lab est l'un des plus grands éditeurs mondiaux de solutions de sécurité informatique. La société est classée parmi les 4 premiers fournisseurs de solutions de sécurité informatique pour les particuliers*. Fort de plus de 15 ans d'expérience, Kaspersky Lab a su rester un acteur innovant sur le marché de la sécurité informatique et fournit aujourd'hui des solutions de sécurité efficaces pour les grands comptes, les PME/TPE et les particuliers. Le groupe Kaspersky Lab, dont la holding est enregistrée au Royaume-Uni, est aujourd'hui présent dans près de 200 pays et territoires, offrant une protection à plus de 300 millions d'utilisateurs à travers le monde.
Pour en savoir plus :
www.kaspersky.com/fr/
Pour plus d'informations sur l'actualité virale :
http://www.securelist.com
Salle de presse virtuelle Kaspersky Lab :
http://newsroom.kaspersky.eu/fr/
* La société a été classée quatrième dans le classement IDC Worldwide Endpoint Security Revenue by Vendor, 2011. Ce classement a été publié dans le rapport IDC « Worldwide Endpoint Security 2012 2016 Forecast & Vendor Shares 2011 » (IDC #235930, juillet 2012). Le rapport classe les éditeurs de logiciels selon les revenus des ventes de solutions de sécurité en 2011.